le blog charnelcerebral

Tu voudrais être ce secret enfouit en toi. Tu veux m’offrir ce que tu n’as jamais offert. Rompre l'hymen de ton insouciance. Tu te sentirais si différente. Laisse tes émotions, trop longtemps contenues, émerger du plus profond de toi. Je suis ton refuge, ta terre promise. Ne restes pas aux portes de ton abandon. Tes atermoiements te rendent si peu sûre qu’ils t’incitent à l’immobilisme. J’attends que tu veuilles bien concrétiser avec moi ton imaginaire. Il est difficile d’aimer sans rien demander. Permets moi d’être ce prolongement qui te mène à l’orgasme !

Rapproche toi de moi afin que je te mette en émoi. Le soleil de loin ne fait que hâler. A la faveur d’une lumière tamisée, musique lounge, émue, tu te laisses dévêtir. Mon regard velours souligne tes rondeurs. De ton profil transparaît la fierté, fierté qui se justifie par ta beauté et par la cambrure de tes reins. Le spectacle de ton dos est tout aussi réjouissant (pour ne pas dire jouissant). Epaules  partagées par un large sillon se prolongeant le long de ta colonne vertébrale pour finir en s'estompant à hauteur de tes reins où de part et d'autre se trouvent de légères cavités pour mieux retenir l'attention en ce lieu, car là commence le sublime des rondeurs. Fesses dévoilées, rebondies. L'une serrées contre l'autre par pudeur pour cacher cette entrée défendue. Mon désir s'exprime par mes caresses. Chair convoitée, tu te décontractes.

Hanches avenantes, cuisses moites d'une attente trop longtemps refoulée. Une insoutenable envie du point le plus profond de ta féminité me mène en ton pays incendiaire, souffle embrasant ton espace odorant. Naissante jouissance, plaisirs troubles que tu savoures délicieusement. Quand un homme s’enflamme, langue de feu qui n’a de cesse, plus qu’une caresse, plus qu’une ivresse. Du consentement aux vertiges de nos délices, loin de l'emprise de la morale, tu laisses l’extase t’envahir. Découvrant ton bouton d’amour, qui se veut orgueilleux, gonflé de plaisir. Je le prends entre mes lèvres alors que ton ventre se creuse et que ta respiration se saccade.

Eperdue, tu n’es plus qu'une immense vague prête à déferler. Ton corps se bande comme un arc sur le point de se briser, comme une supplique inavouée. Peau révoltée. Ardent Phénix au baiser. Vérité hurlante de mon envie. Ta chair animée avive mon ardeur. Mon glaive déchaîne les plaisirs incontinents en transgression. Orgasmes annoncés par nos frissons. Tu exploses, par millier de feux contenus, d’avoir trop longtemps retenu ta nature.

Sam 12 jui 2008 4 commentaires
Quelle flamme, mon ami...on s'y brûlerait...
noir intense 35 - le 17/07/2008 à 18h56
Bonjour à toi, ce post qui te surprendra pour mentionner un article qui reprend fidèlement ce texte, chez un blogueur connu pour avoir l'imagination aride, mais un talent de plagiat très développé !

http://www.orangeblog.fr/web/jsp/blog.jsp?articleID=17870158&blogID=60862&pos=0&cpi=3
Sultan - le 04/10/2008 à 22h43
Sultan - le 05/10/2008 à 09h01
Bonjour,

j'ai toujours exécré les plagieurs de tout poils, j'ai mais alors vraiment horreur de ça ! on demande mais on ne vole pas le travail des autres, surtout on cite ses sources !

Il m'est arrivé de trouver un texte, plutôt des poemes, que j'ai demandé la permission à l'auteur de le publier chez moi, je n'ai jamais eu de refus et je cite TOUJOURS mes sources avec un lien direct chez l'auteur et idem pour les photos.

Juste du respect et du savoir vivre.

Ishtar
Ishtar - le 12/10/2008 à 08h36