mes poemes

Dimanche 7 décembre 7 07 /12 /Déc 16:30


De l’affaire alègre, à l’affaire claude dunand*

Actualités passées avec tous ces relents

il est notable qu’aucun notable n’ait été condamné

Réseau de soutiens de ces bourreaux protégés

Prendre la pose et de vous ils disposent

Ces hommes, comme des spams, s’imposent



Sombre destin que d’être entre leurs mains

De ces hommes biens, hommes de biens

De la haute société qui vous abusaient à satiété

votre corps de femme connaît la vérité



Femmes battues, de vous ils se sont repus

Vous êtes astreintes à vivre en reclus
Assainies de coups, votre âme esclave

Vous subissiez les flux et reflux telles des épaves

Ils étaient insensibles à vos suppliques à genoux

les blessures et les peurs se rappellent encore à vous


Sombre destin que d’être entre leurs mains

De ces hommes biens, hommes de biens

De la haute société nullement inquiétés

votre corps de femme connaît pourtant la vérité



anus déchiré, mise aux fers, inéluctable enfer

à vos cuisses épingler vos lèvres vulvaires

que de souvenirs de douleurs crues

qui hantent vos jours et hantent vos nuits

plus aucune quiétude vous sursautez à chaque bruit

plus aucune espérance d’être secourues



Sombre destin que d’être entre leurs mains

De ces hommes biens, hommes de biens

De la haute société si bien protégée

votre corps de femme souffre encore de cette vérité



Au pays de sous France que de souffrances, aucun espoir

ils sont restés insensibles à vos larmes de rasoir

barbarie, tortures, à votre peau lisse

Femmes au service aux sévices, à ces vices

Qui vous enveloppent comme un linceul

Pratiques SM à des déesses restées bien seules



Beau destin de n’avoir pas été entre leurs mains

De ces hommes biens, hommes de biens

Etes vous certaine d’être bien protégée ?

De ne pas souffrir demain de cette vérité

 


*affaire à Appoigny 
Par Ys - Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 16:50


Frivole, innocente et impudique
miroir à même le sol en réplique
Elle écarte lentement ses cuisses
s'immobilise et se contemple avec vices
sublime la pointe rose de ses petits seins
s’attendrit à sa chaire, de petits riens
les charmes intimes de sa nature
se sont enrichis de son corps mature
Son joli cul en reflet
Position lascive en couplet


Sa main glisse vers son sexe
et d'un agile et fier index
amuse ses grandes et petites lèvres.
Elle les masse avec velours, d’alentours en retour
caresse d'avant en arrière, son esprit est en rêve
De doux frissons la parcourent.
Des rives de son delta gonflé
lèvres roses, douces, humides et pleines
tandis qu'elle y plonge à perdre haleine
ses doigts curieux et enfiévrés.
Elle s'enivre du roulis de ses caresses
ne délaissant les collines de ses fesses.
Concentriques, ses câlineries tutélaires
attendrissent ensuite les plis de son œillet
Avant de pénétrer, de son auriculaire, ce sanctuaire
trop délaissé et si douillet.
Ses autres doigts continuent d'honorer son clitoris
suscitant des tremblements convulsifs
respiration en cris plaintifs
soupirs de plaisirs pour tout supplice.
Elle se cambre, son brillant miel abonde
l’orgasme, si chaud, si intense, l’envahit
…ne reste pas ainsi
vient, que mes désirs fécondent

 

Copyright ©Tous droits réservés - Ys 2009 - Texte déposé n° AVA6989

Par Ys - Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 18:51

Ma romance en vous n’est en rien simulée
C’est pourquoi cela n'aurait jamais du arriver
Pour avoir laissé impunément naviguer mes réminiscences
De ces mots que l’on ose par trop d’aisance

J’ai perdu la raison, emporté par ma passion
Pardonnez-moi, j’étais submergé par l’émotion
Acceptez ma supplique divine opale
Ma raison se segmente en d’infinies fractales

A l’audace de mes souvenirs, trop de maladresses
Je n’ai pu me retenir, je le confesse
Je m’adresse à vous en pénitent
Ne laissez pas mon esprit dans les tourments

J’ai appris douloureusement, hélas à vos dépends
Que les intentions louables ne suffisent
Si elles sont l’œuvre d’un inconscient
Car le plus vaste des cœurs, comme le vôtre, s’y brise

Je quémande, en toute sincérité, votre mansuétude
Je ne suis pas fier de tant de certitudes
Ma demande de pardon procède de la vérité
Authenticité du naufrage de mes pensées

Que de nouveau mes caresses à votre corps s’adonnent
Laissez moi vous faire revivre ma coutumière appétence
Souvenez vous, le pardon est un don que l'on donne
Et que l’on reçoit comme une jolie délivrance

Par Ys - Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 mai 2 13 /05 /Mai 20:29

Ils disent que rien n’est plus étincelant que le diamant
Parce qu’ils ne vous ont pas connu
Ternes sont les étoiles au firmament
En comparaison de votre corps nu


Si l’amour est une ode vous êtes ma symphonie
Si la passion est déraison vous êtes ma folie
Je vous veux jusqu’à l’ivresse
Je vous cherche ma princesse


Votre absence comme un vide autour de moi
Loin de votre chaleur j’ai froid
Votre silence comme écho en mon émoi
Loin du son de votre voix c’est l’effroi


J’aimerai être plus proche, y compris dans vos pensées
Que je sois le sel de votre vie, le sucre de vos plaisirs
Le baume salvateur de vos blessures non refermées
Et ne jamais devenir votre souvenir


Lorsque je pense à vous mes sens sont en effervescence
Je me remémore la douceur de votre peau et son essence
L’harmonie de votre corps demeure en mon esprit
Je m’en souviens et j’en suis meurtri


Je voudrais répéter ses moments furtifs à l’infini
Trop court, trop peu, pas assez en votre compagnie
Encore et encore toujours à vous admirer
Me permettre à de délicates aménités


Plus que des yeux ou de mon regard vous caresser
La quête d’un trésor comme votre perle cachée
Se divertir et m’enrichir de vos pensées
A présent mon ambition, Vous retrouver

Par Ys - Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 20:26

Plus brûlant que le feu

je suis ton soleil

dans la profondeur de tes cieux

Comme nul autre pareil
 

Je me dessine dans ton horizon.

Je ferai danser ta flamme

sans préjugé et sans modération  

Nudité délivrante de ton âme


J’attiserai ce feu en toi

pour que tes sens flamboient

réveillant tes démons endormis 

sois à moi avec générosité sans interdit

 
Tu seras brebis, louve, chienne, Reine
 

sans cosmétique pour complice

En ce nouvel Eden, tu seras mienne 

l’essence même des instants X


Retrouve tes pulsions primales
  

Libère tes désirs tel un animal

Je retiendrai ce chaud sur papier glacé 

Ces songes qui deviennent réalité


Ouvre toi comme une fleur

  Je dévoilerai tes insolites valeurs

fragile comme le cristal des amants 

Tu auras plus de valeur que le diamant


Je panserai tes blessures émotionnelles
 

Je serais ton Ange, plus doux que le miel

Je ferai de l’enfer un paradis 

Un monde de plaisirs en folie


Ys
 

Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Samedi 15 mars 6 15 /03 /Mars 12:30

Flo

 

Flo

Tel le soleil au printemps, elle exhausse nos rêves

Avec douceur et chaleur, fait monter notre sève

Elle nous enflamme pour nous mener aux anges

Et nous délaisser, impression étrange

 

Quand la neige fond où va le blanc ?

Pourquoi ? Même questionnement !

Flo est nirvana et fée mère

C’est sa réalité et ta chimère

Tu as envie d’être ce qu’elle attend de toi

Afin d’être présent dans son futur, même à être inférieur à soi

Le désir est un souhait dont les ailes sont l'imagination

Elle ne peut être ton horizon, au risque de perdre la raison

Flo, Vois tu l’amer dans mes yeux bleus ?

Je te recherche non par besoin mais par plaisir

Illusion de la passion qui me fait jouir

Un jour viendra irrémédiablement l’Adieu

je traduis dans mes compositions cet émoi

Comme le ressenti, le senti……. ment

Je me rappelle que le grand chêne a été un gland

…….Comme moi ! ! ! 

Ys

Copyright©Tous droits réservés - Ys 2007 - Texte déposé n° DG14551

Par Ys - Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

votre attention


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Présentation

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés