De l’affaire alègre, à l’affaire claude dunand*
Actualités passées avec tous ces relents
il est notable qu’aucun notable n’ait été condamné
Réseau de soutiens de ces bourreaux protégés
Prendre la pose et de vous ils disposent
Ces hommes, comme des spams, s’imposent
Sombre destin que d’être entre leurs mains
De ces hommes biens, hommes de biens
De la haute société qui vous abusaient à satiété
votre corps de femme connaît la vérité
Femmes battues, de vous ils se sont repus
Vous êtes astreintes à vivre en reclus
Assainies de coups, votre âme esclave
Vous subissiez les flux et reflux telles des épaves
Ils étaient insensibles à vos suppliques à genoux
les blessures et les peurs se rappellent encore à
vous
Sombre destin que d’être entre leurs mains
De ces hommes biens, hommes de biens
De la haute société nullement inquiétés
votre corps de femme connaît pourtant la vérité
anus déchiré, mise aux fers, inéluctable enfer
à vos cuisses épingler vos lèvres vulvaires
que de souvenirs de douleurs crues
qui hantent vos jours et hantent vos nuits
plus aucune quiétude vous sursautez à chaque bruit
plus aucune espérance d’être secourues
Sombre destin que d’être entre leurs mains
De ces hommes biens, hommes de biens
De la haute société si bien protégée
votre corps de femme souffre encore de cette vérité
Au pays de sous France que de souffrances, aucun espoir
ils sont restés insensibles à vos larmes de rasoir
barbarie, tortures, à votre peau lisse
Femmes au service aux sévices, à ces vices
Qui vous enveloppent comme un linceul
Pratiques SM à des déesses restées bien seules
Beau destin de n’avoir pas été entre leurs mains
De ces hommes biens, hommes de biens
Etes vous certaine d’être bien protégée ?
De ne pas souffrir demain de cette
vérité
Frivole, innocente et impudique
miroir à même le sol en réplique
Elle écarte lentement ses cuisses
s'immobilise et se contemple avec vices
sublime la pointe rose de ses petits seins
s’attendrit à sa chaire, de petits riens
les charmes intimes de sa nature
se sont enrichis de son corps mature
Son joli cul en reflet
Position lascive en couplet
Sa main glisse vers son sexe
et d'un agile et fier index
amuse ses grandes et petites lèvres.
Elle les masse avec velours, d’alentours en retour
caresse d'avant en arrière, son esprit est en rêve
De doux frissons la parcourent.
Des rives de son delta gonflé
lèvres roses, douces, humides et pleines
tandis qu'elle y plonge à perdre haleine
ses doigts curieux et enfiévrés.
Elle s'enivre du roulis de ses caresses
ne délaissant les collines de ses fesses.
Concentriques, ses câlineries tutélaires
attendrissent ensuite les plis de son œillet
Avant de pénétrer, de son auriculaire, ce sanctuaire
trop délaissé et si douillet.
Ses autres doigts continuent d'honorer son clitoris
suscitant des tremblements convulsifs
respiration en cris plaintifs
soupirs de plaisirs pour tout supplice.
Elle se cambre, son brillant miel abonde
l’orgasme, si chaud, si intense, l’envahit
…ne reste pas ainsi
vient, que mes désirs fécondent
Copyright ©Tous droits réservés - Ys 2009 - Texte déposé n° AVA6989
Ma romance en vous n’est en rien simulée
C’est pourquoi cela n'aurait jamais du arriver
Pour avoir laissé impunément naviguer mes réminiscences
De ces mots que l’on ose par trop d’aisance
J’ai perdu la raison, emporté par ma passion
Pardonnez-moi, j’étais submergé par l’émotion
Acceptez ma supplique divine opale
Ma raison se segmente en d’infinies fractales
A l’audace de mes souvenirs, trop de maladresses
Je n’ai pu me retenir, je le confesse
Je m’adresse à vous en pénitent
Ne laissez pas mon esprit dans les tourments
J’ai appris douloureusement, hélas à vos dépends
Que les intentions louables ne suffisent
Si elles sont l’œuvre d’un inconscient
Car le plus vaste des cœurs, comme le vôtre, s’y brise
Je quémande, en toute sincérité, votre mansuétude
Je ne suis pas fier de tant de certitudes
Ma demande de pardon procède de la vérité
Authenticité du naufrage de mes pensées
Que de nouveau mes caresses à votre corps s’adonnent
Laissez moi vous faire revivre ma coutumière appétence
Souvenez vous, le pardon est un don que l'on donne
Et que l’on reçoit comme une jolie délivrance
Ils disent que rien n’est plus étincelant que le diamant
Parce qu’ils ne vous ont pas connu
Ternes sont les étoiles au firmament
En comparaison de votre
corps nu
Si l’amour est une ode vous êtes ma symphonie
Si la passion est déraison vous êtes ma folie
Je vous veux jusqu’à l’ivresse
Je vous cherche ma
princesse
Votre absence comme un vide autour de moi
Loin de votre chaleur j’ai
froid
Votre silence comme écho en mon
émoi
Loin du son de votre voix c’est l’effroi
J’aimerai être plus proche, y compris dans vos pensées
Que je sois le sel de votre vie, le sucre de
vos plaisirs
Le baume salvateur de vos blessures non
refermées
Et ne jamais devenir votre souvenir
Lorsque je pense à vous mes sens sont en effervescence
Je me remémore la douceur de votre peau et
son essence
L’harmonie de votre corps demeure en mon
esprit
Je m’en souviens et j’en suis meurtri
Je voudrais répéter ses moments furtifs à l’infini
Trop court, trop peu, pas assez en votre
compagnie
Encore et encore toujours à vous
admirer
Me permettre à de délicates aménités
Plus que des yeux ou de mon regard vous caresser
La quête d’un trésor comme votre perle
cachée
Se divertir et m’enrichir de vos
pensées
A présent mon ambition, Vous retrouver
Plus brûlant que le feu
je suis ton soleil
dans la profondeur de tes cieux
Comme nul autre pareil
Je me dessine dans ton horizon.
Je ferai danser ta flamme
sans préjugé et sans modération
Nudité délivrante de ton âme
J’attiserai ce feu en toi
pour que tes sens flamboient
réveillant tes démons endormis
sois à moi avec générosité sans interdit
Tu seras brebis, louve, chienne,
Reine
sans cosmétique pour complice
En ce nouvel Eden, tu seras mienne
l’essence même des instants X
Retrouve tes pulsions primales
Libère tes désirs tel un animal
Je retiendrai ce chaud sur papier glacé
Ces songes qui deviennent réalité
Ouvre toi comme une fleur
Je dévoilerai tes insolites valeurs
fragile comme le cristal des amants
Tu auras plus de valeur que le diamant
Je panserai tes blessures émotionnelles
Je serais ton Ange, plus doux que le miel
Je ferai de l’enfer un paradis
Un monde de plaisirs en folie
Ys
Flo
Tel le soleil au printemps, elle exhausse nos rêves
Avec douceur et chaleur, fait monter notre sève
Elle nous enflamme pour nous mener aux anges
Et nous délaisser, impression étrange
Quand la neige fond où va le blanc ?
Pourquoi ? Même questionnement !
Flo est nirvana et fée mère
C’est sa réalité et ta chimère
Tu as envie d’être ce qu’elle attend de toi
Afin d’être présent dans son futur, même à être inférieur à soi
Le désir est un souhait dont les ailes sont l'imagination
Elle ne peut être ton horizon, au risque de perdre la raison
Flo, Vois tu l’amer dans mes yeux bleus ?
Je te recherche non par besoin mais par plaisir
Illusion de la passion qui me fait jouir
Un jour viendra irrémédiablement l’Adieu
je traduis dans mes compositions cet émoi
Comme le ressenti, le senti……. ment
Je me rappelle que le grand chêne a été un gland
…….Comme moi ! ! !
Ys
Copyright©Tous droits réservés - Ys 2007 - Texte déposé n° DG14551
ici textes déposés © Ys
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