Ma romance en vous n’est en rien simulée
    C’est pourquoi cela n'aurait jamais du arriver
    Pour avoir laissé impunément naviguer mes réminiscences
    De ces mots que l’on ose par trop d’aisance
    J’ai perdu la raison, emporté par ma passion
    Pardonnez-moi, j’étais submergé par l’émotion
    Acceptez ma supplique divine opale
    Ma raison se segmente en d’infinies fractales
    A l’audace de mes souvenirs, trop de maladresses
    Je n’ai pu me retenir, je le confesse
    Je m’adresse à vous en pénitent
    Ne laissez pas mon esprit dans les tourments
    J’ai appris douloureusement, hélas à vos dépends
    Que les intentions louables ne suffisent
    Si elles sont l’œuvre d’un inconscient
    Car le plus vaste des cœurs, comme le vôtre, s’y brise
    Je quémande, en toute sincérité, votre mansuétude
    Je ne suis pas fier de tant de certitudes
    Ma demande de pardon procède de la vérité
    Authenticité du naufrage de mes pensées
    Que de nouveau mes caresses à votre corps s’adonnent
    Laissez moi vous faire revivre ma coutumière appétence
    Souvenez vous, le pardon est un don que l'on donne
    Et que l’on reçoit comme une jolie délivrance
  

    
    ici textes déposés © Ys
    protégés sous peine de poursuite
  
 
									
			
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