Le passé m’a fait un doux présent
De la ville des ponts suspendus
De la ville des aigles, êtes venue
Vous, il y a quelques temps
Vous seule pouvez comprendre
Sans s’y m’éprendre
Je remercie Constantine
De cet amour naissant
Plaisir d’être votre amant
Dans ces jeux de libertine
Plus que des sensations
Des émotions
Ma peau en besoin de vous
Vous avez su me conquérir
Et moi votre con quérir
Sans dessus dessous
Près de ce pont d’Avignon
Mans et Menton
J’ai encore tant à vous donner
Maîtresse de ma destiné
Me remettre à Flo
Recommencer crescendo
Un signe avenant suffit
Et mon âme revit
D’un amour attachant
En cadeau, or ne ment
Dollars en art du dol
Revenez plus frivole
Prêt nom en partage
J’en rage
Appel du cœur en sincérité
Tout de vous en confidentiel
Rousse, éclaircissant mon ciel
Je ne peux, ne veux vous oublier
Excellent accueil en réserve
Comme cette verve
Tant de grains de toute beauté
Et votre fesse droite peu altérée
C’est à vous que je m’adresse
Car vous êtes ma faiblesse
Toujours je me souviens
Et rien
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sa seule richesse est son corps
C’est dire le peu de valeur
LOLL à mort
Corps en labour pour seul labeur
Quelles sont ses forces endogènes
aucune faculté humaine
vénalité qui prémunit du besoin
Scorpion dans le fion
Salope, on suppute
ou lope en rute
je me fous de sa sociale position
de ses diverses ablutions
Borgia à guichet ouvert
Plus dégueux que pervers
terreau de maladies honteuses
Elle se croit meneuse
Plus qu’une icône,
une e-conne
même pas bonne
elle déconne
Cogne mes sens
ce n'est que décadence
Elle est grave et approche la poussière
Pas de quoi être fière
Beauté charnelle éphémère
A la fin du temps sera derrière
Je tej sa face de my space
L’Amour folie n’a pas de fèces
Déjà out comme la culture geek
Adam et Eve avaient déjà un Apple !
Elle vit dans l’opulence trash de la gicle
Eden maculé, impression de deuil
loin, très loin de mes désirs
Ce n’est pas mon délire
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Fontaine je ne boirai jamais de ton eau
Eau à verse ou flocons blancs en approche
Fontaine je ne boirai jamais de ton eau
C’est claire comme de l’eau de roche
Fontaine je ne boirai jamais de ton eau
Par crainte du dégât des eaux
Alluvions en allusions en illusions
Fontaine je ne boirai jamais de ton eau
Attitude bien prétentieuse ou traduisant une présomption
Par précaution ou par abjection
Raisonnement spécieux emprunt d’à priori
Fontaine je ne boirai jamais de ton eau
Alors quelle eau buvez-vous, ami(e) ?
Erreur d’appréciation, incompréhension,
Peut être que l'expérience ne se trompe
jamais ?
En évasion, un jour, une fois, puis deux… mais
Irresistible envie, Fontaine j’ai bu de ton eau
Jamais ma soif ne fut ainsi étanchée, mon plaisir si intense
Je me suis délié de ma parole mais pas de celle que j’ai donnée
Cette eau s'aime d'une nouvelle naissance en jouvence
En ablution, j’ai ouvert mon esprit vers l’altérité
Pour mon intellect, ma conscience, mon empathie, ma chair
Fontaine est désormais source de ma vie et j’en suis fier
Comment ai-je pu vivre sans ?
J’aurais pu passer à côté de ce qui est le plus précieux
Ce filet d'eau est devenu torrent
Eau si douce et si riche, séditieuse c’est délicieux
J’avais tord dans cette abstinence d’histoire d’eau
Pourtant toi fontaine, je ne boirai jamais de ton eau
Pourquoi ne pas en profiter ? La vie est trop courte !
Justement, au risque de rendre ma vie encore plus courte
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Une forme nue qui tend les bras
Pauvre petite chatte qui avait froid
Allons à la petite chatte aux trésors
Rêvant de gros matous lorsqu’elle dort
Au Nord, il y a les corps ronds
Au Sud, la chaleur s’évapore
Courez la prétentaine, en évasion
Venez jusqu’à moi, à bon port
Chatte, comme une envie de toit
Se blottir à l’âtre de mon cœur
Avec bonheur partager ma chaleur
Doux et tendre tourments en ébats
Chat s’étire de douces langueurs
Animal qui éveille vos ardeurs
A poil dévoilant leurs atouts
La queue valse au doux minou
Crépite le feu de ma cheminée
En votre corps latent ainsi vivifié
Miaulements sous les assauts
La chatte a dévoré mon oiseau
Bel adage à mon endroit, loin des yeux, loin du cœur
C’est bien ainsi car votre présence est douce douleur
Sentiments ambigus, valence des sensations
En perdition, âpre dichotomie de cette situation
La douceur de votre voix m’enchante telle une sirène
Vigilance me préserve, je ne sais où cela nous mène
Pourtant vous me manquez dans ce repos salvateur
Impossible union dont mes pensées sont esclaves
Ce bonheur serait, pour d’autres, source de malheur
Enflammé par votre attitude naturellement suave
Le charme de votre gestuel met mon âme en alarme
Vos touchantes et délicates attentions me désarment
Dans cette foule, on se recherche, s’embrasse du regard
De petits signes furtifs, évocateurs, provocateurs
Je n'ai pu retenir mes irrépressibles élans de cœur
En un enthousiasme, en un instant, nos mains s’égarent
Besoin irrésistible de se toucher, comme se caresser
Emporté innocemment par le souffle de notre
volupté
Je succombe, avec vous je suis perdu, de vous éperdu
Agréables folies, absorbé par votre ouatée présence
Plaisirs en attente avec cette ingénue, qu’en apparence
Concédez moi le peu qu’il vous reste de vertu
Faire grandir en partage avec vous ce désir déroutant
La douleur de mes songes est de devenir votre amant
Sous votre charme dévastateur, nécessaires détours
Révélations du non-dit au sablier de notre amour
votre silence est d’or, si douloureux qu’il me saigne
Faut-il qu’au sang de mes émotions, je me baigne
Laissez-vous vous perdre dans l’azur de mes yeux
Amour caché, que j’appelle intensément de mes vœux
Où vous voulez, comme vous voulez, quand vous voulez
Mais épargnons notre entourage de cette illusoire vérité
Femme, étendez-vous dans la campagne
Ou sous le drap, peau aux couleurs merveilles
corps en insurrection je vous accompagne
Vous régentez nos sens en éveil
Contre moi votre chair attendrie,
Prodiguant mille infamies
L’amour est dans nos bras
Nos soupirs entonnent l’hymne à la joie
Aux âmes, si coquins, aimons, baisons
que ma sève si pure, abreuve votre sillon
En patrie hot, prenez mon étendard
Voyez votre triomphe et ma gloire
Le dard turgescent est levé
L’instant de gloire est arrivé
En résidence à votre raie pubis
pollinisation de votre fleur de lys
Copyright ©Tous droits réservés - Ys 2009 - Texte déposé n° SGJ59125
Vœux nus comme Eve et Adam
Ch’veux renversant femme sur un corps d’amant
je veux connaître l’âme en vous
Je velours de tendresse pour vous
je vous veux, avide, non vide, avec une âme
Je veux un lys pur pour accueillir votre corps de femme
Je vous veux trop impérieuse
Je vous veux, même avec impair, très rieuse
je vous veux, en égarement, à tous les égards
je veux contempler votre corps, incarnation de l’art
Je veux m'inscrire dans vos pensées
Je veux partager des passions insensées
Je veux être la raison qui fait battre votre coeur
Je veux être celui qui sèche vos pleurs
Je me veux, entre vos cuisses, ouvertes, à mon offrande
Je veux que votre jouissance soit grande
je veux toucher votre Aveu
Qui
veut
C'est la belle nuit de Noël
Ta dentelle étend son blanc sur blanc
douce apparence sensuelle
d’un érotisme envoûtant
Ta fragrance en atmosphère
pour de longs préliminaires
Petite Maman Noel
Quand tu donneras ton essentiel
Avec tes baisers par milliers
N’oublie pas ma petite pensée
Mais avant de jouir
Il faudra bien te dévêtir
Ton corps sera en émoi
En me consumant en toi
Et ne tarde que mon vit se lève
Pour affirmer ma présence infatuée
Le plus beau joujou que tu as vu en rêve
Et qui se trouve à ta portée
Petite Maman Noel
Quand tu donneras ton essentiel
Avec tes baisers par milliers
N’oublie pas ma petite pensée
Mais avant de jouir
Il faudra bien te dévêtir
Ton corps sera en émoi
En me consumant en toi
Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et nous allons pouvoir commencer
Caresses licencieuses à notre peau
Au son des murmures et des soupirs
Générosité de désirs en plaisirs
Petite Maman Noel
Quand tu donneras ton essentiel
Avec tes baisers par milliers
N’oublie pas ma petite pensée
Mais avant de jouir
Il faudra bien te dévêtir
Ton corps sera en émoi
En me consumant en toi
Et quand tu seras sur ton beau nuage
De séduction en avide passion
enfièvre mon corps volage
et jusqu’à la déraison
ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite
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