Il est dangereux d’être femme, victime invisible d’exaction. Femmes en détresse, courbent
l’échine. Femmes en souffrance, en violences conjugales. Femme à protéger parfois même, de leur père, de leur parâtre, de leur frère, de leur oncle, de leur fils, de leur mari, de leur patron,
etc…. Femmes séquestrées, abusées, viol des femmes comme arme de guerre. Femmes en danger, instrumentalisées en ce monde de charia, de mafia. Toutes les religions ont une propension à vous
considérer suivant la seule fonction procréatrice (pourtant Jésus aimait les femmes), femmes qui ne sont pas libres de leur corps. Femmes excisées, flamme de désirs éteints. Femmes répudiées,
chassées de leur milieu familial, jetées à la rue, à l’incertitude. Femmes lapidées, déverrouillées de la vie. Femmes objets, marchandises de l'homme, femmes de chair à canon de chair. Immondes
mémoires du monde. Aux jeux charnels disgressifs, récession sous couvert d’évolution, épreuves et preuves. Valeur en tant que personne… bafouée.
Qu’il doit être difficile d’être femme. Le désir de pouvoir est souvent plus fort chez les hommes que la bonté. Il est bien connu que plus inconnue que l’homme inconnu est sa femme. Hommes,
cessez de consumer votre vie en vanités. Femmes libérez-vous des serres du désespoir. 3919. La femme représente l’éternité de l’homme, sans elle point d’avenir possible et réciproquement. Femmes,
je cède à votre con et concède ignorer les prétenchieuses.
En matière de harcèlement sexuel, la valeur protégée est la liberté sexuelle.
Ainsi, le juge tiendra compte de la négation du désir de la victime. Inversement une manifestation de consentement libre et l’absence de pression ne permettra pas de qualifier cette infraction.
Le puritanisme n'est pas érigé en force de loi.
Suivant la directive européenne n° 2002/73/CE, il y a harcèlement sexuel lorsqu'"un comportement non désiré à connotation sexuelle, s'exprimant physiquement, verbalement ou non verbalement, survient avec pour objet ou pour effet
de porter atteinte à la dignité d'une personne et, en particulier, de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant" (art. 1er, 2).
Ce délit d’harcèlement sexuel est défini, à la fois dans le Code
pénal ( art. 222-3333 et 222-44 -1°), et dans le Code du travail (art L 122-46). Ceci démontre que l’infraction ne se limite pas au milieu professionnel pour être condamnable, elle recouvre
tous les champs de la vie, y compris privé.
Cette infraction sexuelle est constituée suivant le Code pénal lorsque le critère de l'absence ou de l'existence d'un consentement, à
avoir des relations sexuelles qui s'entend de l'usage ou du non-usage par l'agent de violence, contrainte, menace ou surprise, est établi par un faisceau
d’indices.
Si le harcèlement sexuel a lieu sur le lieu de travail il constitue une faute grave de l'auteur justifiant son licenciement immédiat
(CA Dijon, ch. soc., 4 sept. 2003 ) il constitue une faute grave de l'auteur justifiant son licenciement immédiat et permet à la victime d'agir en responsabilité contre l'employeur si
celui-ci, bien qu'averti, n'a pris aucune mesure (CA Paris, 22e ch. C, 2 sept. 2004 ). Bien entendu, une condamnation pénale pourra s'y
ajouter.
La charge de la preuve n’est pas entièrement dévolue à la victime. Celle-ci doit uniquement "établir, de manière précise et
circonstanciée, les faits qui permettent de présumer l'existence d'un harcèlement" (Loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002). Ensuite c’est à la personne incriminée d’apporter les éléments de défense tentant à prouver qu’il n’y a pas de harcèlement sexuelle. En fait c’est le juge
qui va collecter ces éléments notamment par des témoignages, indices concordants ou aveux car il y a très souvent absence de preuve. Compte tenu de cette difficulté les preuves peuvent être
dérobées par exemple écrits ou enregistrements.
Les manifestations possibles du harcèlement peuvent s’exprimer sous forme de chantage. Ont été classé
dans ce champ : les promesses de promotions, de meilleures conditions de travail ou autres avantages en échange de rapports sexuels (Cass. crim., 20 nov. 2002, n° 02-81.635) ou les
menaces de licenciement ou de renvoi, les propos grivois, des attouchements déplacés, les sollicitations graveleuses par téléphone ou par courriers électroniques ou papiers. Des cadeaux peuvent
également caractériser le harcèlement comme des sous-vêtements.
Au demeurant les expressions, même maladroitement réitérées, d'un sentiment amoureux, d'un désir que l'accusé espère partager ne
seront pas sanctionnées. De même que main ou pied effleurés, déclarations d'amour, regards langoureux, propositions d'embrasser sur la bouche, revue pornographique posée sur un véhicule (CA
Douai, 10 septembre 1997). Je souligne que les termes effleurées ou propositions ne sont pas à confondre avec touchées ou contraintes. Autre exemple : une invitation à une soirée
échangiste n'est pas condamnable, dès lors qu’elle n’a pu se réaliser qu'avec le consentement de la prétendue victime venue librement. (CA grenoble 7 juillet 2000)
.
Je condamne avec force le harcèlement moral, c'est pourquoi il m'est apparu nécessaire d'aborder ce sujet en précisant le champ de qualification de cette infraction
pénale qui n'est en rien liberticide dans le domaine sexuel dès lors qu'il y a consentement sans dol, forfaiture ou autres stratagèmes.
JE VOUS SIGNALE QUE LE BLOG :
http://www.orangeblog.fr/web/jsp/blog.jsp?articleID=17870158&blogID=60862&pos=0&cpi=3FAIT DU PLAGIAT
LA PREUVE
http://charnelcerebral.over-blog.com/article-21191440-6.html#comment31869021
ET POUR LA PHOTO
http://charnelcerebral.over-blog.com/article-17718584.html
MERCI DE LE FAIRE SAVOIR
et
Merci à Sultan : http://complices-consentants.over-blog.com/
de m'avoir alerté
Les drogues du viol les plus courantes sont le Rohypnol et le GHB.. Elles sont inodores, incolores et insipides, qui peuvent facilement être versées dans
un verre ou sur un aliment. Les symptômes apparaissent environ vingt minutes après la consommation et peuvent durer jusqu'à douze heures. La victime voit son jugement faussé, elle perd ses
inhibitions. Les symptômes sont confusion, difficulté à s’exprimer, manque de coordination des mouvements, confusion, parfois surexcitation, etc..
Les victimes donnent l'impression de collaborer avec l'agresseur. Elles ne gardent aucun souvenir des "événements".
Les femmes agressées n’ont aucun souvenir des événements, elles ne peuvent donc porter plaintes. De plus, pour les victimes, le fait de ne se souvenir de rien est une source d'angoisse
supplémentaire. Si tant est qu’elles s’en souviennent, elles se sentent coupables de ne pas avoir pu "résister", intentent une poursuite pénale. Elles craignent d'avoir contracté une maladie? le
VIH? Ce qui les confortent parfois dans le mutisme.
Pour porter plainte, il faut faire diligence et subir un test d'urine le plus tôt possible, car la drogue ne laisse aucune trace après une période de 12 à 48
heures.
Pour se protéger des drogues du viol, les femmes doivent toujours garder un œil sur leur verre, ne pas accepter de consommation dont on ignore la provenance et se
fier à son instinct dès qu'on a un doute (comme refuser de se faire raccompagner par quelqu'un avec qui on ne se sent pas à l'aise). Sortir en groupe et se surveiller les unes les autres. Si une
personne près de vous a un comportement soudainement exubérant ou inhabituel, ou semble plus ivre qu'elle ne devrait l'être, intervenez. Vaut mieux se tromper que de négliger de la protéger. Si
vous êtes seule et que vous sentiez un malaise, une désorientation ou une ivresse anormale, téléphonez à une personne proche.
The Big brother’s name is my sister : EDVIGE. Connotation féminine par séduction
Nicolas Princen a été nommé afin de surveiller tout ce qui se dit sur la Toile et déjouer tout
ce qui est écrit ou dit à l'encontre sarkozy. A présent, c'est le fichier Edvige (exploitation documentaire et valorisation de l'information générale) qui permet suivant l’article 1 de
ce décret
" de centraliser et d'analyser les informations relatives aux personnes physiques ou morales ayant sollicité, exercé ou exerçant
un mandat politique, syndical ou économique ou qui jouent un rôle institutionnel, économique, social ou religieux " Vous remarquez la signification de " sollicité " !
Les informations pouvant être collectées concerneront suivant l’article 2 :
― informations ayant trait à l'état civil et à la profession ;
― adresses physiques, numéros de téléphone et adresses électroniques ;
― signes physiques particuliers et objectifs, photographies et comportement ;
[c’est à dire que tous vos problèmes de santé y seront inscrits, tous vos comportements, y compris sexuels, pourront être instrumentalisés
pour faire pression, même sur vos enfants, parents, amis, simple connaissance, même supposée, etc) La CNIL regrette que la collecte d'informations relatives aux origines ethniques, à la
santé et à la vie sexuelle des personnes " ne soit pas assortie de garanties suffisantes ". ]
― titres
d'identité ;
― immatriculation des véhicules ;
― informations fiscales et patrimoniales ;
― déplacements et antécédents judiciaires ;
― motif de l'enregistrement des données ;
― données relatives à l'environnement de la personne, notamment à celles entretenant ou ayant entretenu des relations directes et non fortuites avec elle.
[C’est à dire, même vous si vous ètes l’ami(e) de quelqu’un qui est uniquement soupçonné
… Vous serez fiché(e). Attention également aux liens que d’autres blogs ont bien voulu afficher ceci peut vous amener à être fiché(e).]
De plus comme l’indique l’article 5 dudit décret : " Le droit d'information prévu au I de
l'article 32 et le droit d'opposition prévu à
l'article 38 de la même loi ne s'appliquent pas au présent traitement. "
En d’autres termes, pas d’information préalable et impossible de demander des modifications si les informations sont fausses. Le problème n'est pas seulement le fichier, mais les erreurs qui s'y glisseront .
L’avant dernier alinéa de l'article 2 précise que : . " Les données [ ...] ne peuvent être enregistrées
que dans la mesure où ceux-ci, en raison de leur activité individuelle ou collective, sont susceptibles de porter atteinte à l'ordre public. " Susceptible : c’est à dire que l’enfant ou la
personne n’a même pas commis de délit, mais qu’on le soupçonne de pouvoir en commettre à l’avenir et que de ce fait on le fiche ! Il est donc considéré que toutes les personnes qui expriment une
opinion représentent une menace pour la France. Il est à remarquer que les bêtises des jeunes de treize ans les poursuivront toute leur vie, mais qui n'a pas fait de bêtises pendant sa jeunesse
?
Même le syndicat national de la magistrature désapprouve ce décret.
Affirmer que ceci n’est qu’une disposition permettant de rendre transparent ce qui était occulte signifie que l’Etat, y compris sarkozy, s’adonnait à des pratiques
illégales Par ailleurs, on ne saurait se prévaloir d’une illégalité.
Comme souvent, le diable est dans les détails, on a de quoi s'inquiéter pour nos libertés individuelles
" Quiconque est prêt à sacrifier sa liberté pour un peu de sécurité provisoire ne mérite ni
l’une ni l’autre et perdra les deux " (Thomas Jefferson)
Une Pétition en ligne contre le fichier (nonaedvige.ras.eu.org ) que le gouvernement semble, désormais, interdire l’accès
Ceci peut passer par la condamnation du ou des auteurs. Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature
qu'il soit, c'est-à-dire toute pénétration sexuelle : vaginale, anale (sodomie), orale (fellation) ou pénétration par la main ou des objets, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un
viol au sens du Code Pénal.
La victime d'un viol dispose d'une durée de 10 ans pour porter plainteAu delà, il y a prescription (aucune poursuite n'est
plus possible).Si le viol a été commis alors que la victime était mineure au moment des faits, la prescription commence à partir de la majorité de celle-ci et elle a été
portée à vingt ans par la loi nº 2004-204 du 9 mars 2004 la victime peut donc dans ce cas porter plainte jusqu'à l'âge de 38 ans.
Collectif Français des Victimes de l'inceste : http://cfvi.fr/
Ainsi tu ne culpabiliseras plus. Ce n’est pas de ta faute. Tu te réconcilieras avec les plaisirs charnels qui se conjuguent avec l’amour et qu’en toute occurrence doivent se concevoir comme un échange de douceurs, de chaleurs, sans dol, contraintes ou forfaitures, même si parfois la diversité mènent à des pratiques liées à la BDSM. Ces dernières ne doivent s’exprimer que par consentement mutuel préalable dans le respect de limites prédéfinies, sans pour autant être obligatoirement figées.
J’ai envie d’hurler pour celles qui ont été privées de leur jeunesse, de leurs forces, d'avenir, sacrifiés sur l’autel du sordide. Aux funérailles du désir, ils ont cracher du bas de leur ventre flasque, de leur vit au goût amer, vie amère, leur lave brûlante dans un corps immaculé qui reçoit cette mélasse. Victimes, esprit qui se vide, pendant que ces bourreaux d’écoeurent, à vomir, se vident au vide intérieure de ces ingénues. Figurines de l’ombre, retourner comme un pantin pour changer de cible. Itération de drames, même trame, comme des lames qui meurtrissent tant d’âmes innocentes. Certains étaient leur propre père, balayant tout repère, en la chair de la chair. Même séquence, même souffrance, innocence abusée, inceste, un sexe, ectomie de vie.
L'excision des filles est infiniment plus risquée et ses conséquences plus dramatiques, que l’ablation du prépuce du
garçon, même si les deux rites participent d'un même fond culturel.
Une telle intervention, réprimée par l’article 434-3 du code pénal, entraîne, outre la peur et la douleur immédiate, des conséquences
qui peuvent être graves: hémorragie prolongée, infection, stérilité, voire le décès. Dans la forme la plus extrême, l'excision avec infibulation, où après l'ablation totale des parties génitales
externes, les deux côtés de la vulve sont recousus ensemble, le traumatisme est répété à chaque naissance, quand on coupe à nouveau pour permettre le passage de
l'enfant.
Cet acte abject n'a jamais été cité par le Prophète, ni reconnu par le Hadjith ! N'existe pas dans l'Abu Hureyra, " ma nuit de
noces, où m'attendaient des caresses, de doux baisers, des étreintes. Non, jamais ! Ce qui m'attendait étaient des douleurs, des souffrances et de la tristesse. […] Dans mon lit de noces, je suis
étendue en gémissant, pelotonnée comme un animal blessé, victime de la douleur féminine. […] ce n'est qu'une douleur de femme, et la douleur de femme périt comme toutes les choses féminines ! ce
que disent les vieilles femmes (Dahabo Elmi Muse - SWDO-AIDOS) . Pratiques rétrogrades et avilissantes que pérennisent certaines femmes.
Pratique surannée de ces
coupeurs d’extase qui engendre une itération de douleurs, sang coulé par des avorteurs de rêves, cris et hurlements répétés par cette ectomie de la jouissance, bourgeon coupé par des mains
négatives au printemps de la vie, avenir bouleversé pour que nul ne puisse déguster sa fève. …..Lugubre mélopée pour celles qui ont eu leur plaisir tué en cette chair intime.
ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite
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