J’ai envie d’hurler pour celles qui ont été privées de leur jeunesse, de leurs forces, d'avenir, sacrifiés sur l’autel du sordide. Aux funérailles du désir, ils ont cracher du bas de leur ventre flasque, de leur vit au goût amer, vie amère, leur lave brûlante dans un corps immaculé qui reçoit cette mélasse. Victimes, esprit qui se vide, pendant que ces bourreaux d’écoeurent, à vomir, se vident au vide intérieure de ces ingénues. Figurines de l’ombre, retourner comme un pantin pour changer de cible. Itération de drames, même trame, comme des lames qui meurtrissent tant d’âmes innocentes. Certains étaient leur propre père, balayant tout repère, en la chair de la chair. Même séquence, même souffrance, innocence abusée, inceste, un sexe, ectomie de vie.
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