Samedi 14 juin 6 14 /06 /Juin 22:50

La belle est femme, si belle. Ses lèvres, sans fard, sont si ravissantes que j’ai envie y déposer les miennes. Regards échangés. Mes lèvres chaudes et humides réclament les siennes, pulpeuses et gourmandes. Apposant ma bouche à la sienne, silence d’un baiser où les langues se mêlent. Naissance érotique, bel instant de tendresse. De ce baiser plein de chaleur, le bout de ses seins se dresse. Nos soupirs se mêlent, accord de douceurs, invitation mutuelle à de plus grands festins, odyssée à l'infini de nos peaux dénudées. Me confiant son corps dévoilé, mes tendres lèvres posées sur sa peau lui prodiguent mille délices, caressent son corps ondulant. Nous dévorons nos égarements, frémissements des chairs, soupirs, murmures, et gémissements. Folles pensées, elle devient audacieuse, m’invite, en une position lyonnaise, à submerger sa féminité, humide d’attente et d’anticipation pendant que ses lèvres de velours très curieuses enrobent mon axe viril dressé, dur, épais, veiné et gonflé de désirs. Mes lèvres à son alcôve, espace incandescent, ma bouche s’y colle ardemment, la savoure, doux mouvements renouvelés. Lèvres avides, tendres fureurs d'une union triomphante.
Je m’attarde en sa baie alors qu’elle me prodigue de frétillantes et furtives lapées le long de mon membre avant de l’enlacer de nouveau, bouche fermée, lèvres serties. Par ma langue, exploratrice et chaude qui ne cesse en son intimité dans laquelle elle me retient, hanches enserrant mon visage, son volcan s’enflamme, son esprit se perd. Je vais cueillir son fruit tant désiré par une quête encore plus probante. Lèvres ourlées savourant sa fève, source de tous les abus. Langue exigeante aux traces brûlantes en son essence. Elle laisse son être s’envoler dans le tourbillon des émotions, hiatus ravissants. Disposition qui lui permet de continuer à me sucer, mordiller. Tige des merveilles, allant venant, en son palais jusqu’à y recueillir ma quintessence dans l’épanouissement secret de ses lèvres ; alors que ma bouche en son lieu de délices, de mes lèvres viennent plus de force qu’un torrent. Tous les prestiges et les vertiges de la chair se déploient, jouissance que nous partageons laissant place à une profonde plénitude .

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

votre attention


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Présentation

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés