Samedi 17 mai 6 17 /05 /Mai 15:12

Femmes, esprit subtil, sensible, harmonie révélée d’inflexions et de courbes, monts, merveille, somptuosité de toutes mes tentations, je suis votre esclave de tendresse, à vous toutes… ou presque. Impossible exclusivité. Fidel..ité, nécessité de scinder la contraction de ce mot. Je me livre corps et âme à votre sensuelle lubricité. Je vous aime comme les fruits. A l’âge mûr, le suc y est abondant et riche en saveur. Votre chair n’en est pas moins tendre et ferme. Charnel parfum qui suscite la faim. Femmes, si sages, dociles, dont l’impudeur devenant naturellement apparente, animent mâles.
Laissez moi effeuiller les annales de vos songes afin que je puisse les satisfaire un à un. Tendresses et douceurs au menu de nos agapes. Vous embrasser toutes passionnément avec mon corps et mon âme. Vous couvrir de mon enveloppe charnelle en transit, vous réchauffer, vous embraser, vous envahir de malignes caresses. Etre lié à vos fantasmes en corps éperdus, plus d’espace entre vous et moi, transportés d’impatiences, en communion, multiples soupirs.
En votre grâce, par de multiples digressions, m’autoriser toutes permissivités, extases approuvés. Miraculer vos silences de désirs en ondées de plaisir. Légèreté des âmes en ivresse. Soyez libre de donner seulement ce qu’il vous plaît jusqu’à l’indécence afin qu’en chœur s’animent nos sens en tout sens. Vous mener où firent mamans, jouant une symphonie avec mon archer. Faire vibrer les cordes de vos envies. S’adonner aux plaisirs multiples, échanges de malices en une valse de pensées éperdues.
Epanouissement de nos corps où les audaces de nos appétits abondent. Impudique, vous vous laissez posséder par ma passion. Mutines, vous m’envoûtez pour mieux me retenir. Nul désir d’évasion, en votre intimité veloutée, tant que votre brasier me consume, champs de chair dévorée, et dévorante. Lancer mon ancre en votre profondeur pour ne plus succomber aux chants d’autres sirènes. Parviendrez vous à dompter la puissance de ma sève pour vos lointains rêves d’alcôves ? L’ange obscène que je suis aime naviguer en d’autres exquises incursions

Copyright@Tous droits réservés - Ys 2007 - Texte déposé n° FG7684

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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