Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 12:13

Femme de rubens ou non, j’aime vous contempler et défaille à la vue de votre faille. L’apparence, en tant que manifestation du merveilleux, doit trouver son corollaire dans la douce senteur sauvage de votre être. La nature de vos exhalations corporelles l’emportera sur toutes autres considérations physiques. Par sa charge érotique, les suaves effluves de votre corps transcenderont mes passions. Ma sexualité exultera dans vos séduisantes odeurs corporelles. De ma bouche en odyssée, je vous dessinerai avec la délicatesse d’un orfèvre, m’attardant sur vos dômes et vos courbes, insistant sur les sillons les plus profonds. Enivrés réciproquement par nos émanations, comme une invitation au goût, nous porterons le méat en bouche. La force érotique de l’odeur de vos anfractuosités charnelles, attisera mes ardeurs linguales. Enchanté par notre fragrance, fermant les yeux pour mieux apprécier notre parfum naturel, nous butinerons le suc des senteurs. Nous nous délecterons mutuellement de notre pure intériorité. Notre échange culminera par la convergence de nos plaisirs. Tension érotique jusqu’à laisser jaillir librement l’immodération. Nous jouirons l’un de l’autre.  Soupires,  gémissements et râles en résonance.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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