Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 19:09

De sexualité bien épanouie, nulle neurasthénie sexuelle, cependant d’humeur coquine, pour calmer sa fureur utérine et se sentir assouvie, sa main droite avait trouvé le chemin de sa sensualité et commence à caresser ses tétons dont la pointe se durcit, en s’imaginant que c'était une autre personne. Jeu sensuel avec son propre corps, cet office commun à l'humanité.

 

Sous la douche, elle joue avec le jet diminuant ou augmentant la pression et même en le dirigeant, sur ses lèvres intimes ou sur son clitoris. La caresse de l'eau est ainsi douce et plus ou moins forte, un vrai délice ! Puis, elle applique une serviette de bain, bien roulée, contre son sexe. Son clitoris et sa vulve en contact direct avec cette douce texture donne des ondes de plaisir. Elle commence ses va-et-vient, alternant coups de reins et aller-retour du tissu. D’une ardeur douce, secrète et discrète, elle presse de plus en plus fort, accélère le rythme. Une bouffée de chaleur envahit son bas-ventre. Le plaisir monte, de plus en plus fort à mesure qu’elle accélère ses mouvements. Son corps tendu est secoué par les vagues de plaisirs. Yeux clos, elle savoure, affamée, l’état de son corps enchanté. Délaissant la serviette, allant sur son lit, elle écarte doucement ses jambes. Son oreiller placé entre ses jambes, faisant des mouvements de bassin, elle balance ses fesses et son ventre d'avant en arrière.

 

Puis, elle glisse son index trempé de salive entre ses lèvres toutes chaudes, douces et légèrement écartées. En sa fente, de haut en bas, d’un toucher délicat, de longues caresses appuyées, tout en gardant l'autre main sur ses petits seins, dont elle caresse les tétons avec un grand plaisir. Elle explore son intimité en une déambulation subversive, malicieuse et sulfureuse. Puis un deuxième doigt inquisiteur dans les secrets de Vénus, caverne des plaisirs, lui procure un délice conquis. De son autre main, délaissant sa poitrine, descend s'affairer de plus en plus délicieusement sur ses fesses. Un doigt dans son oeillet et l’autre sur sa vulve en fusion. Son petit trou se dilate, acmé anale. Sa douce corolle s’épanouit, son sexe brûlant est inondé. Elle prend un peu de sa cyprine pour en induire son clito qui, sous ses doigts se dresse, se durcit, gonfle. Elle le pince doucement, le fait tourner. Doigts coquins, doigts malins, sensations exquises qui la font frémir.

 

Pléthore de divergences sexuelles, alimentée par un foisonnement d'imagination. Tout son bas-ventre s'est mis à s'électriser, Les reins cambrés, l'excitation est à son comble. Elle se représente des scènes très érotiques, en d’obscènes et discursives chimères de volupté. Un orgasme déferle du bas ventre jusqu'à sa gorge. Elle ne peut refréner ses gémissements de bonheur, comme une heureuse complainte. Pour son orgasme final, elle resserre ses cuisses. Elle est parcourue par la puissance de la jouissance la submergeant comme un tsunami, la laissant inondée vers la vésanie Ces voluptueuses hallucinations, brûlant ses indomptables ardeurs sexuelles au-delà de toute convenance. Cet investissement narcissique ne fut qu’un rêve ….peut être ? Est-ce moi qui t’aie offert cet orgasme profond, puissant, suivi d'un immense bien-être ?

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
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