Belle à bon Dieu qui possède des elles. Mon ciel prend ses racines en vous. Vais je percevoir l'infini, l’infiniment beau, sans me situer au-dessus des lois, mais au-delà ? Chaque parcelle de votre peau semble être un éclair. Devenir le rêve de cet ange est un pas dans les nuages avant de courir dans les étoiles. Les romans ne commencent, ni ne se termine par la queue, à moins que…. Je fais le cygne pour lui faire signe. Je suis homme affable et non à fable. Aux secrets de mes encres, je révèle mes intentions empruntes de délicatesses. La pensée est une corde. Saisissez un bout je suis à l’autre bout. De mon sceau de flammes et de silences, la musique de vos soupirs refait son plein d'écho. Mes caresses sont les vagues de douceurs de la mer de mes émotions en furie. Lorsque vous me faites partager votre corps en appel, l’amour me devient présence. Lieu où ma main est attendue, je sens votre plaisir s‘arrondir et s’ouvrir à l'exultation. A votre mont de Vénus, le bouton se tend, enfle et s’enorgueillit. De ma langue, je feuillette vos délicieux replis, à vos lèvres intimes sont écrits vos désirs en lettres trempées. Quand le soleil a atteint son lit, vers ce lieu extatique, c’est le temps de légèretés. Mon vis prend vie, avec ampleur jusqu’au cœur de votre intimité. Votre corps est à l’abandon, noyé dans la jouissance par ma hampe, rubescente et prodigieuse. Novice ou professe, jusqu’au vertige, je vous réponds à l’encre blanche à votre point de dilution. Je vous murmure. Ne me faite pas trop attendre car le manque est une unité de mesure des sentiments. Mille ans passés depuis hier, que sera demain.
ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite
Je suffoque à la lecture de vos mots... J'en ai le souffle coupé... Tant de sensualité dans vos écrits... Tant d'érotisme et de tendresse...
Vos textes me transportent à chaque fois dans des pays surréalistes... Dans des mondes de volupté... Où j’aime flâner... Je m'y suis merveilleusement bien...