Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 17:49

Ce que nous vivons est ressenti avec plaisir ou douleur. Soumission passée à la dictature du paraître, ses impulsions corporelles sont désormais au service de ses jouissances, peu importe le conformisme. Libérée, son érotisme s’inscrit dans sa force de suggestions qui évolue de l’ombre de la clandestinité, à la lumière de la reconnaissance. Les émotions fortes sont plus exaltantes que la satisfaction.

En quête absolue de sensations inédites, elle aime trop l'inquiétude de ne pas savoir. Cela lui procure une sensation inédite. Excitation de son cœur, en état d’alexithymie, dans l'incapacité d’exprimer ses émotions par des mots, le langage corporel vient s’y substituer. L'effleurement, devient source d'une sensualité extraordinaire. Le sling servant parfois de désinhibiteur, elle se prête au jeu des désirs sollicités, irrépressible densité de l'excès, sans meurtrir sa chair d'une nouvelle injure. Les limites du plaisir charnel sont explorées, mais toujours dans le respect du corps et de l'assouvissement de ses désirs les plus transgressifs.

Lorsqu’elle switche, se métamorphose torride, elle est ma précellence érotique. Une admiration qu'elle me force à contenir. En quête de sensations clandestines, par de licencieuses truculences, l’espace pour respirer est parfois très étroit. Elle s’adonne aux plaisirs d'une profonde diversité par les excentricités de sa conduite sexuelle. Débauches d'orgasmes aux services de ses passions. Sexy temps.

Plus vanille, par les écritures de nos corps, la puissance de l’élan créateur, complexités mouvantes jusqu’à l’épuisement de nos désirs. Vive ardeur, tension insupportable contenue dans l’amour profane. Besoin de profondeur, afin de ne pas rester superficiels. La souveraineté de l’amour se manifeste sous cet aspect festif et séditieux, qui lui confère une aura romantique. Cette suprématie de l'esprit sur les sens.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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