Femme, beauté capable de vaincre non seulement les hommes, n’est
inférieure ni par le corps, ni par la sensibilité, ni par l'intelligence, ni par la sensualité. A l’instar d’une déconcertante apparition, sans vers tu, vers vous, Grâce insaisissable d’un
bonheur espéré, en votre présence monté des sens. Ecrire en rimes sur votre corps assigné à l'élégie, nimbé de reflets stellaires, signes en communion.
L’amour se diffuse jusqu’à la pointe de vos seins. A la Foi, regards généreux. Mais si !.. Vous et moi sont comme les deux ailes qui permettent d’élever le désir en plaisir. Dans les
silences de la mélodie, contre cœur mais certainement pas à contrecœur, nous nous sublimons, si intense désir fusionnel. Corps d'une verve chaleureuse, dénouent, se nouent, c’est
nous.
Se faire abuser en consentement, ébranlés en exagération, l'érotisme n'est jamais coupable. Votre fruit gorgé de suc, chargé de tant de magie, dont je m’étourdis à l’excès. Joie de s’offrir et
plaisir de recevoir. Lèvres impétueuses, envahies d’une fièvre sereine, exultent de déviances votre chair. Ressentir, accueillir le joaillier sans scrupule à votre forge. Charme pur, impérial,
fascinant, si vulnérable à l’airin, dés lors que le temps est en consécration.
Par la baie de l’ange, je m’insurge à la mesure de l’amant, en rythme aux confins de votre singularité. Silence dort pendant que je me déleste en vous avec densité. La verge éclate en gros
sanglots de joies secrètes au coeur de la création. Trouble borderline en cette convergence des plus étroites. Apparente conclusion qui n’en est pas une, tant elle tend vers l’itération. La paix
est au bout du tumulte, comme l’essentiel est la quiétude d'esprit.
ici textes déposés © Ys
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