Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 16:41

Doux présent du présent. Ma muse tu t’amuses à mettre mes sens en émoi. Mon regard qui se pose sur toi est un désir, contemplatif désordonné. Je t’ai compris et te susurre des mots de cœur, pendant que monte en moi une envie brûlante de toucher ta peau hâlée, me presser contre toi, te montrer la force de ma convoitise. L'érotique harmonie de tes lignes, avec tes courbes majestueuses, est une sublime esquisse, sculpture de mes rêves. Je chemine les plaines, collines et vallées de ton corps, ne délaissant aucune parcelle.
Je t’invite au bonheur. Je caresse le galbe de ta poitrine aux pointes érigées de désirs. De doux, de longs et de multiples baisers s’égarent sur la peau veloutée de ton ventre. Tes jambes écartées me laissent voir la naissance de ton mont de vénus, magnificence lisse, exempte de pilosité, qui éclaire mon horizon et me mène à la source de vie. Je convoite ta vulve et de mes mains je soulève tes fesses avec délicatesse, accentuant la pression en ton intimité, pour mieux y recueillir la rosée. Mes lèvres frugales s’abreuvent entre tes reins. Ma langue attise la flamme de tes plaisirs, elle s’immisce en ta voûte liquoreuse. La perle excitée que tu protèges entre tes lèvres intimes se fait mienne. Je la câline car elle est aussi précieuse que le diamant de ton cœur. Je respire le parfum suave de ton calice humide. Tu sens une agréable ferveur t'envahir.
De doux frissons parcourent ton corps en prémices à l’extase, délicieuses sensations. Les sinuosités de tes courbes ondulent contre moi, Tes gémissements sont accompagnés de mouvements fluides. Ton corps tressaille sous les assauts de ma langue fougueuse et la divine intrusion de mes doigts en ta fente ruisselante. De mon autre main, après en avoir caresser la corolle, je force doucement l’entrée de ton œillet. Cette intimité létale s’offre à moi pour réapprendre le goût du rêve. Tes deux entrées se trouvent sollicitées à l’unisson. Une intense chaleur t’irradie, remontant jusqu’à la nuque. Ton vagin se contracte violemment, je me délecte de ta divine et exquise jouissance, et, paupières closes, tu soupires un ultime gémissement en remerciement
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Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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