Vendredi 23 mai 5 23 /05 /Mai 08:53

Aux premiers instants où Vous apparaissez, beauté si rare, si luxuriante, je rêve au festin de voluptés que traduit mon regard azuré, braisé que je tente, au demeurant, de masquer par humilité et timidité. Pardonnez-moi Madame de vous trouver si séduisante. Vous êtes ma convoitise, la fulgurante de mes passions, pourquoi pas Ma Dame ?

Je suis à Vous sans apparat, ni pilosité. Je me réjouis de recueillir votre attention. Non exclusive, même pour Люди Инвалиды Vous portez votre main à la base de mon membre épanoui et complimentez pour la douceur de ma peau, exempte de toute nature disgracieuse. Après quelques doux leurres, Vous présentez vos seins nimbés à ma bouche gourmande où Vous attend un doux sort. Bouche soyeuse, mes lèvres Vous savourent. Langue vigoureuse, je me repais de votre chair. Goûter de festin.

A l’épreuve, ma patience. Délaissé, nu, tenu, retenu, occulté. Malgré ce, mon regard parvient à Vous usurper, dénudée, toute pureté révélée. Je suis la proie de votre tendre animalité. Prenez-moi vite lentement. Initiez-moi au jeu de la déraison. Délire érotique. Le désir de vous plaire. Suppliques silencieuses maintes fois réitérées…. Et entendues ?

Par des déferlantes, corps, lové, s’échauffe doucement sous le sel de vos atypiques caresses. Vous faites monter en moi la fièvre. Prenant en main mon ardent phénix pour me mener sous vos hanches, fenêtre ouverte à tous les songes. Quel spectacle magnifique, votre superbe œillet et cette urne entre vos cuisses d’où s’écoulent mes pensées réalisées. Ainsi, en moi un peu de Vous, que j’emporterai avec ces ardents souvenirs. Je succombe, par flux, aux soupirs de mes élans. Par un doux baiser que Vous déposerez délicatement sur mes lèvres, signe qu’il est temps de prendre congé. Est-ce un Adieu ? Indélébiles instants que je souhaite renouveler, revisiter. Mon âme est déchirée car je sais qu'il est des douceurs que Vous ne partagez. Vous avez chaviré mon cœur. S’il Vous plaît, entravez-moi pour rester auprès de vous.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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