Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 14:20

La reine de cette nuit avec ses défauts, qui font leur humanité, nue, portant l’essentiel, équilibre du corps et de l’esprit. Elle brizze l’innocence des désirs en cascade. Sa beauté si personnelle, sa grâce en chacun de ses mouvements mettent mon coeur en apnée. De contempler ainsi ce doux présent, mon âme s’évade vers un ciel inexploré. Elle se couche en murmures et se blottit contre mon corps, chaleur unissant nos êtres et nos cœurs. Son odeur éveille mes sens, je bruisse sa peau de mes envies De son corps sage, fais gémir les zones sensibles.

Elle admire la belle taille de mon long qu’elle harcèle du bout de sa langue. Les corps étrangers ont le goût capiteux du secret, ses papilles palpitent de plaisir extasié d’une virtuose prenant du plaisir. Elle joue tous les accords de l’instrument à queue pour mon plus grand bonheur. Par le jeu de lèvres et de doigté s’exprime toute la puissance qu’elle module. Celui-ci s’anime et donne sa pleine mesure. Ses lèvres enserrent mon sceptre. Bien qu’elle le suce, douce torture à mon prépuce. A mon méat point de culpa, elle se délecte de son envie. Perdant toute sagesse, elle a l'audace de me provoquer au jeu d’un doigt indiscret à mon œillet. Une onde de plaisir m’électrise. Avec sa bouche, elle pense décider de mon sort. Mais, sans indulgence, délicieuse irrumation sans conclusion.


Pas de trêve en ces instants où la parole est futile. Suivant son sépulcre sentier, attiré par ses douces effluves, soyeuses caresses à sa prude anse où j’aime y faire le con. A sa source, je puise mon eau de là. Cette luxure magnifie son corps animal pris d’une houle femelle. Ô agitée, elle se confesse. La réponse à mon interrogation, si cet Ô sera suffisamment bas, vient de m’être donnée. Dans l’élan de mouvements subtils, elle invite ma tour flèche dans sa chair. Ma sybarite devient furieuse d ans le feu de son âtre, plaisir intense.



Dans ces folies amoureuses, ne pas baisser les armes, garder haute la garde. Le dessert arrive en pièce montée. Mon cierge dans sa nuit pénètre, en offense, avec une douceur brutale. La contrainte de ma chandelle, toute dressée, flamboie à sa sensualité anale. Dans l’ampleur de sa chaleur, je deviens redoutable. Hampe, en combustion, déverse sa sève dans ses profondeurs. Nous brûlons au feu de nos effusions.

 

Elle brisera mon cœur. Est-ce le prix à payer pour ce qu’elle m’a offert ?

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Commentaires

Un cœur brisé, se consolide avec le temps.

Et pour toute guérison, ces incessants souvenirs qui viennent inonder l’esprit de ces délicieuses images. 

Ces merveilleux instants qui resteront gravés à tout jamais dans la mémoire peuvent venir à bout de la souffrance de ce cœur brisé.

Tendres baisers

commentaire n° :1 posté par : Foldenvy le: 24/01/2009 à 17h37
Très beau texte!
Bonne matinée
commentaire n° :2 posté par : Fethi le: 30/01/2009 à 10h41

Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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