Elan vital pour quelques ailleurs, si belles et cybeles aux
ardeurs attendrissantes ne délaissant aucun de leurs désirs, elles s’abandonnent au souffle chaud de l’autre. Le plaisir s’élève en finesse. Leur corps alanguis attendrit mon regard. Offertes,
lèvres ouvertes, de longs frissons parcourent vos corps dénudés. Belles formes ondulantes, aux pointes dressées, que monte en vous l’ivresse sensuelle la plus délectable. Multiples frémissements
sous la chaleur de vos caresses, l’une se laissant étourdir par le soyeux de la peau de l’autre et réciproquement. Laissez mon regard vous usurper, souligner avec délectation les moindres courbes
de vos corps. Dans la jeunesse de l’été, je vous contemple. Excitées, trempées, aux corps fragiles, animées de soupirs et de chants langoureux de murmures. Vous entendre gémir légèrement, douce
musique. Humectées viennent en bouche, langue qui vénère, l’une à l’autre, la féminité de leur anatomie. Friandes du grain de votre peau aux mille protubérances lorsque vous vous touchez
mutuellement, illustration d’autant de frissons. Vos corps sont feus de joies. Plaisirs extérieurs exaltant vos passions intérieures.
Je sens le désir monter, à trois le plaisir est bien plus grand. Je ne peux retenir mes sensuels élans. Peaux tant convoitées, au printemps de vos plaisirs, je gourmande votre chair en
bourgeon. Réunis en votre secret en un même jeu, êtres embrasés, nous nous savourons encore et encore, nous gorgeant de vigueur. Vous êtes si belles dans la chaleur de l’orgasme. Possédé par vos
extrêmes, aller au-delà de ces instants de grâce et de volupté érotique. Superbes impudeurs écloses, s’ouvre à mon ardente envie tout le champs des possibles. Fleurs de vices exténuées, ma
prétention devient définitive. Je sonde, l’une et l’autre, votre âme et m’y dissous. Quand je n’y serai plus, restera la trace de ma vertu.
ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite
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