Aux paradis des yeux, deux elles, regards pleins de langueur et de timidité, qui se charment. " Elles savent apprécier la beauté dans ce qu’elle a d’éternel ". Cachant leur ardente volupté, cœurs palpitants, elles effleurent leur bouche de leurs lèvres sensuelles. Se murmurent amoureusement leurs chauds et doux désirs, et, se donnent un baiser d’amant, pleins de délices et de fièvres. Regards indécents, sourires obscènes, ne pouvant rester longtemps passives, leurs mains passionnées se caressent délicatement le mont de vénus. Leurs seins durcissent par tant de soleil sucré, de saveurs d'été. Elles câlinent leurs mamelons insolents dans la paume de leurs mains, chairs veloutées, plaisirs en devenir, folle envie d’elle, étreinte de flammes, deux coeurs qui se pâment, avec autant d’audace. Bien-être qui les envahit.
Couple ardent de grâce et de fraîcheur, de leur blanche poitrine, à leur ventre satiné, doux comme de la soie, chacune se repait de l’autre. Oeuvre de sappho, un doux feu court sous leur peau. Clair dessin de leurs nobles élégances qui s’enflamment. Emportées par les sens, amoureuse ivresse. Louves insatiables, tribadisme torride, où les mains et les langues sont reines, prenant leurs envols, le verbe et l'esprit n'ont plus loi. Devant, envers, tout contre, enlacées se courbent, se roulent en de subversifs mouvements érotiques et de somptueuses allégories. Corps inversés, s’accordant mutuellement plus d’aise, s’entrouvrent, dévoilant le cœur de leur féminité, elles se livrent leurs gémeaux secrets, parfum de candeur. Bouche sur lèvres intimes, langues agiles, expertes dans la moiteur de l’embrun, attouchements de douceur, fureurs d'incubes, souffles courts, reins cambrés. Ne retenant plus leurs émotions, soupirs itératifs, gémissements, comme autant d'échos semblables à des liturgies, la cyprine emplit les palais, coulées langoureuses d’une danse accomplie de la vie.
Copyright©Tous droits réservés - Ys 2007 - Texte déposé n° LM
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Si j'emmenais mon amour
À ta rescousse
T'inquièterais-tu pour moi
comme une douleur dans ton coeur?
Est-ce que je pourrais faire confiance à ta force
Pour me ramasser et me remettre sur le chemin?
Dis-moi
Seras-tu là quand j'en aurai besoin
Tu ne me tourneras pas le dos
Tu m'aideras à me sortir de cette vie que je mène
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Si je te donnais mon âme
Pour une partie de ton esprit
Est-ce que tu m'emmenerais partout avec toi
Jusqu'à la fin des temps?
Pourrais-tu comprendre si tu me voyais dans l’erreur
Ne ferions-nous qu'un, ou un divisé en deux?
S'il-te-plaît, dis-moi
tu seras là quand j'en aurai besoin
Tu ne me tourneras pas le dos
Tu m'aideras à me sortir de cette vie que je mène
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Est-ce que je pourrais faire confiance à ta force
Pour me ramasser et me remettre sur le chemin?
Dis-moi
tu seras là quand j'en aurai besoin
Tu ne me tourneras pas le dos
Tu m'aideras à me sortir de cette vie que je mène
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
Souviens-toi de la promesse que tu m'as faite
De la pointe de vos pieds au zénith de vos hanches divinement galbées, le grain de velours de cette peau flavescente apparaît lisse et voluptueux. Dieu que de charmes ! Cette parcelle de chair d’étoiles présage une belle égérie qui n’ose tout dévoiler suscitant ainsi notre imaginaire. Mes pensées se bercent de cette révélation aux linéaments rares, plus suggestive qu’impudique. Reflet subliminal, laissant deviner tout ce que nous pourrions partager. Vos jambes, qui invitent à l’audace, sont de merveilleuses révélations de la vie. En ce paradis terrestre de Jupiter, ainsi présenté, mes rêves se permettent de dévoyer ce corps par de troubles et extravagantes évocations.
Je ressens l'affinité de nos chairs. Passionné par tant de grâces, je vous sollicite. Vous vous laissez emporter par le flux de mes désirs. J’aborde l’épure de votre silhouette de fée, délicieusement nubiles, par des effleurements. Mes mains facétieuses habillent votre corps, allant de découverte en découverte. Elles suivent la douceur de vos courbes féminines jusqu’à l’annonce de vos dunes brûlantes où se cache le coeur de la Nuit a l’abri des regards. Puis redescendant épousant vos jambes jusqu’aux mollets, chevilles et pieds pour ensuite reprendre une nouvelle ascension de votre champ de nature par mes ajouts langoureux.
Votre chair, buvard de mes folies, se cambre, et se nourrit de mes bienveillances. Vos cuisses s'écartent de façon presque imperceptible, légèreté hospitalière pour un plaisir commun. Mes mains sont entraînées, de part et d’autre, à l’intérieur de vos flancs ardents jusqu’à la croisée de ces chemins de plaisirs, corridor de l’entrejambes où mon exaltation rêve d’agonir. A l'envi du fait de vos aveux, je me dirige dans l’ombre de votre estuaire. L'air y est parfumé de vos désirs.
Vous charmant par mes lèvres, j’ajoure votre pays incendiaire et m’y insinue passionnément. Je forge, en vos plis inguinaux, de délicieux supplices pour vous rendre heureuse et troublée. Vous ne pouvez vous affranchir de ces ondées qui vous envahissent Vos soupirs prolongés accompagnent l’exaltation de bonheur qui émane de votre fleur. Ma langue frugale, audacieuse et pernicieuse, gourmande de toutes vos saveurs, papillonne jusqu’à s’aventurer à votre porte cachant la nuit noire de la clarté de votre lune. Jeu d’ombres et de lumières, charmante illusion qui me fait perdre la raison. Par trop d’impatience, acoquinée par mon prestige turgescent, vous m’invitez au plus profond de votre calice, où toutes les exigences de votre chair convergent. De ma belle allure, par l’allée de vos rosées, nos sèves, libérées de nos corps exultés, s’accouplent en votre soyeux fourreau.
Photos de charm’s qui m’a inspiré et merci beaucoup
Est-ce bien sûr ?
Aux premiers instants où Vous apparaissez, beauté si rare, si luxuriante, je rêve au festin de voluptés que traduit mon regard azuré, braisé que je tente, au demeurant, de masquer par humilité et timidité. Pardonnez-moi Madame de vous trouver si séduisante. Vous êtes ma convoitise, la fulgurante de mes passions, pourquoi pas Ma Dame ?
Je suis à Vous sans apparat, ni pilosité. Je me réjouis de recueillir votre attention. Non exclusive, même pour Люди Инвалиды Vous portez votre main à la base de mon membre épanoui et complimentez pour la douceur de ma peau, exempte de toute nature disgracieuse. Après quelques doux leurres, Vous présentez vos seins nimbés à ma bouche gourmande où Vous attend un doux sort. Bouche soyeuse, mes lèvres Vous savourent. Langue vigoureuse, je me repais de votre chair. Goûter de festin.
A l’épreuve, ma patience. Délaissé, nu, tenu, retenu, occulté. Malgré ce, mon regard parvient à Vous usurper, dénudée, toute pureté révélée. Je suis la proie de votre tendre animalité. Prenez-moi vite lentement. Initiez-moi au jeu de la déraison. Délire érotique. Le désir de vous plaire. Suppliques silencieuses maintes fois réitérées…. Et entendues ?
Par des déferlantes, corps, lové, s’échauffe doucement sous le sel de vos atypiques caresses. Vous faites monter en moi la fièvre. Prenant en main mon ardent phénix pour me mener sous vos hanches, fenêtre ouverte à tous les songes. Quel spectacle magnifique, votre superbe œillet et cette urne entre vos cuisses d’où s’écoulent mes pensées réalisées. Ainsi, en moi un peu de Vous, que j’emporterai avec ces ardents souvenirs. Je succombe, par flux, aux soupirs de mes élans. Par un doux baiser que Vous déposerez délicatement sur mes lèvres, signe qu’il est temps de prendre congé. Est-ce un Adieu ? Indélébiles instants que je souhaite renouveler, revisiter. Mon âme est déchirée car je sais qu'il est des douceurs que Vous ne partagez. Vous avez chaviré mon cœur. S’il Vous plaît, entravez-moi pour rester auprès de vous.
Doux présent du présent. Ma muse tu t’amuses à mettre mes sens en
émoi. Mon regard qui se pose sur toi est un désir, contemplatif désordonné.
Je t’ai compris et te susurre des mots de cœur, pendant que monte en moi une envie brûlante de toucher ta peau hâlée, me presser contre toi, te montrer la force de ma convoitise. L'érotique
harmonie de tes lignes, avec tes courbes majestueuses, est une sublime esquisse, sculpture de mes rêves. Je chemine les plaines, collines et vallées de ton corps, ne délaissant aucune
parcelle.
Je t’invite au bonheur. Je caresse le galbe de ta poitrine aux pointes érigées de désirs. De doux, de longs et de multiples baisers s’égarent sur la peau veloutée de ton ventre. Tes jambes
écartées me laissent voir la naissance de ton mont de vénus, magnificence lisse, exempte de pilosité, qui éclaire mon horizon et me mène à la source de vie. Je convoite ta vulve et de mes mains
je soulève tes fesses avec délicatesse, accentuant la pression en ton intimité, pour mieux y recueillir la rosée. Mes lèvres frugales s’abreuvent entre tes reins. Ma langue attise la flamme de
tes plaisirs, elle s’immisce en ta voûte liquoreuse. La perle excitée que tu protèges entre tes lèvres intimes se fait mienne. Je la câline car elle est aussi précieuse que le diamant de ton
cœur. Je respire le parfum suave de ton calice humide. Tu sens une agréable ferveur t'envahir.
De doux frissons parcourent ton corps en prémices à l’extase, délicieuses sensations. Les sinuosités de tes courbes ondulent contre moi, Tes gémissements sont accompagnés de mouvements fluides.
Ton corps tressaille sous les assauts de ma langue fougueuse et la divine intrusion de mes doigts en ta fente ruisselante. De mon autre main, après en avoir caresser la corolle, je force
doucement l’entrée de ton œillet. Cette intimité létale s’offre à moi pour réapprendre le goût du rêve. Tes deux entrées se trouvent sollicitées à l’unisson. Une intense chaleur t’irradie,
remontant jusqu’à la nuque. Ton vagin se contracte violemment, je me délecte de ta divine et exquise jouissance, et, paupières closes, tu soupires un ultime gémissement en
remerciement.
"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est
difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?
ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite
Quelques photos proviennent d’Internet. Si certaines sont les vôtres, veuillez me contacter, je les retirerai immédiatement ou indiquerai vos références
Que mes écrits reflètent avec exactitude ma personnalité débauchée, tendre, et…
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