ma prose... sensuelle

Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 13:11

De la pointe de vos pieds au zénith de vos hanches divinement galbées, le grain de velours de cette peau flavescente apparaît lisse et voluptueux. Dieu que de charmes ! Cette parcelle de chair d’étoiles présage une belle égérie qui n’ose tout dévoiler suscitant ainsi notre imaginaire. Mes pensées se bercent de cette révélation aux linéaments rares, plus suggestive qu’impudique. Reflet subliminal, laissant deviner tout ce que nous pourrions partager. Vos jambes, qui invitent à l’audace, sont de merveilleuses révélations de la vie. En ce paradis terrestre de Jupiter, ainsi présenté, mes rêves se permettent de dévoyer ce corps par de troubles et extravagantes évocations.

Je ressens l'affinité de nos chairs. Passionné par tant de grâces, je vous sollicite. Vous vous laissez emporter par le flux de mes désirs. J’aborde l’épure de votre silhouette de fée, délicieusement nubiles, par des effleurements. Mes mains facétieuses habillent votre corps, allant de découverte en découverte. Elles suivent la douceur de vos courbes féminines jusqu’à l’annonce de vos dunes brûlantes où se cache le coeur de la Nuit a l’abri des regards. Puis redescendant épousant vos jambes jusqu’aux mollets, chevilles et pieds pour ensuite reprendre une nouvelle ascension de votre champ de nature par mes ajouts langoureux.

Votre chair, buvard de mes folies, se cambre, et se nourrit de mes bienveillances. Vos cuisses s'écartent de façon presque imperceptible, légèreté hospitalière pour un plaisir commun. Mes mains sont entraînées, de part et d’autre, à l’intérieur de vos flancs ardents jusqu’à la croisée de ces chemins de plaisirs, corridor de l’entrejambes où mon exaltation rêve d’agonir. A l'envi du fait de vos aveux, je me dirige dans l’ombre de votre estuaire. L'air y est parfumé de vos désirs.

Vous charmant par mes lèvres, j’ajoure votre pays incendiaire et m’y insinue passionnément. Je forge, en vos plis inguinaux, de délicieux supplices pour vous rendre heureuse et troublée. Vous ne pouvez vous affranchir de ces ondées qui vous envahissent Vos soupirs prolongés accompagnent l’exaltation de bonheur qui émane de votre fleur. Ma langue frugale, audacieuse et pernicieuse, gourmande de toutes vos saveurs, papillonne jusqu’à s’aventurer à votre porte cachant la nuit noire de la clarté de votre lune. Jeu d’ombres et de lumières, charmante illusion qui me fait perdre la raison. Par trop d’impatience, acoquinée par mon prestige turgescent, vous m’invitez au plus profond de votre calice, où toutes les exigences de votre chair convergent. De ma belle allure, par l’allée de vos rosées, nos sèves, libérées de nos corps exultés, s’accouplent en votre soyeux fourreau.

 

Photos de  charm’s qui m’a inspiré et merci beaucoup

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Vendredi 23 mai 5 23 /05 /Mai 08:53

Aux premiers instants où Vous apparaissez, beauté si rare, si luxuriante, je rêve au festin de voluptés que traduit mon regard azuré, braisé que je tente, au demeurant, de masquer par humilité et timidité. Pardonnez-moi Madame de vous trouver si séduisante. Vous êtes ma convoitise, la fulgurante de mes passions, pourquoi pas Ma Dame ?

Je suis à Vous sans apparat, ni pilosité. Je me réjouis de recueillir votre attention. Non exclusive, même pour Люди Инвалиды Vous portez votre main à la base de mon membre épanoui et complimentez pour la douceur de ma peau, exempte de toute nature disgracieuse. Après quelques doux leurres, Vous présentez vos seins nimbés à ma bouche gourmande où Vous attend un doux sort. Bouche soyeuse, mes lèvres Vous savourent. Langue vigoureuse, je me repais de votre chair. Goûter de festin.

A l’épreuve, ma patience. Délaissé, nu, tenu, retenu, occulté. Malgré ce, mon regard parvient à Vous usurper, dénudée, toute pureté révélée. Je suis la proie de votre tendre animalité. Prenez-moi vite lentement. Initiez-moi au jeu de la déraison. Délire érotique. Le désir de vous plaire. Suppliques silencieuses maintes fois réitérées…. Et entendues ?

Par des déferlantes, corps, lové, s’échauffe doucement sous le sel de vos atypiques caresses. Vous faites monter en moi la fièvre. Prenant en main mon ardent phénix pour me mener sous vos hanches, fenêtre ouverte à tous les songes. Quel spectacle magnifique, votre superbe œillet et cette urne entre vos cuisses d’où s’écoulent mes pensées réalisées. Ainsi, en moi un peu de Vous, que j’emporterai avec ces ardents souvenirs. Je succombe, par flux, aux soupirs de mes élans. Par un doux baiser que Vous déposerez délicatement sur mes lèvres, signe qu’il est temps de prendre congé. Est-ce un Adieu ? Indélébiles instants que je souhaite renouveler, revisiter. Mon âme est déchirée car je sais qu'il est des douceurs que Vous ne partagez. Vous avez chaviré mon cœur. S’il Vous plaît, entravez-moi pour rester auprès de vous.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 16:41

Doux présent du présent. Ma muse tu t’amuses à mettre mes sens en émoi. Mon regard qui se pose sur toi est un désir, contemplatif désordonné. Je t’ai compris et te susurre des mots de cœur, pendant que monte en moi une envie brûlante de toucher ta peau hâlée, me presser contre toi, te montrer la force de ma convoitise. L'érotique harmonie de tes lignes, avec tes courbes majestueuses, est une sublime esquisse, sculpture de mes rêves. Je chemine les plaines, collines et vallées de ton corps, ne délaissant aucune parcelle.
Je t’invite au bonheur. Je caresse le galbe de ta poitrine aux pointes érigées de désirs. De doux, de longs et de multiples baisers s’égarent sur la peau veloutée de ton ventre. Tes jambes écartées me laissent voir la naissance de ton mont de vénus, magnificence lisse, exempte de pilosité, qui éclaire mon horizon et me mène à la source de vie. Je convoite ta vulve et de mes mains je soulève tes fesses avec délicatesse, accentuant la pression en ton intimité, pour mieux y recueillir la rosée. Mes lèvres frugales s’abreuvent entre tes reins. Ma langue attise la flamme de tes plaisirs, elle s’immisce en ta voûte liquoreuse. La perle excitée que tu protèges entre tes lèvres intimes se fait mienne. Je la câline car elle est aussi précieuse que le diamant de ton cœur. Je respire le parfum suave de ton calice humide. Tu sens une agréable ferveur t'envahir.
De doux frissons parcourent ton corps en prémices à l’extase, délicieuses sensations. Les sinuosités de tes courbes ondulent contre moi, Tes gémissements sont accompagnés de mouvements fluides. Ton corps tressaille sous les assauts de ma langue fougueuse et la divine intrusion de mes doigts en ta fente ruisselante. De mon autre main, après en avoir caresser la corolle, je force doucement l’entrée de ton œillet. Cette intimité létale s’offre à moi pour réapprendre le goût du rêve. Tes deux entrées se trouvent sollicitées à l’unisson. Une intense chaleur t’irradie, remontant jusqu’à la nuque. Ton vagin se contracte violemment, je me délecte de ta divine et exquise jouissance, et, paupières closes, tu soupires un ultime gémissement en remerciement
.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 17 mai 6 17 /05 /Mai 15:12

Femmes, esprit subtil, sensible, harmonie révélée d’inflexions et de courbes, monts, merveille, somptuosité de toutes mes tentations, je suis votre esclave de tendresse, à vous toutes… ou presque. Impossible exclusivité. Fidel..ité, nécessité de scinder la contraction de ce mot. Je me livre corps et âme à votre sensuelle lubricité. Je vous aime comme les fruits. A l’âge mûr, le suc y est abondant et riche en saveur. Votre chair n’en est pas moins tendre et ferme. Charnel parfum qui suscite la faim. Femmes, si sages, dociles, dont l’impudeur devenant naturellement apparente, animent mâles.
Laissez moi effeuiller les annales de vos songes afin que je puisse les satisfaire un à un. Tendresses et douceurs au menu de nos agapes. Vous embrasser toutes passionnément avec mon corps et mon âme. Vous couvrir de mon enveloppe charnelle en transit, vous réchauffer, vous embraser, vous envahir de malignes caresses. Etre lié à vos fantasmes en corps éperdus, plus d’espace entre vous et moi, transportés d’impatiences, en communion, multiples soupirs.
En votre grâce, par de multiples digressions, m’autoriser toutes permissivités, extases approuvés. Miraculer vos silences de désirs en ondées de plaisir. Légèreté des âmes en ivresse. Soyez libre de donner seulement ce qu’il vous plaît jusqu’à l’indécence afin qu’en chœur s’animent nos sens en tout sens. Vous mener où firent mamans, jouant une symphonie avec mon archer. Faire vibrer les cordes de vos envies. S’adonner aux plaisirs multiples, échanges de malices en une valse de pensées éperdues.
Epanouissement de nos corps où les audaces de nos appétits abondent. Impudique, vous vous laissez posséder par ma passion. Mutines, vous m’envoûtez pour mieux me retenir. Nul désir d’évasion, en votre intimité veloutée, tant que votre brasier me consume, champs de chair dévorée, et dévorante. Lancer mon ancre en votre profondeur pour ne plus succomber aux chants d’autres sirènes. Parviendrez vous à dompter la puissance de ma sève pour vos lointains rêves d’alcôves ? L’ange obscène que je suis aime naviguer en d’autres exquises incursions

Copyright@Tous droits réservés - Ys 2007 - Texte déposé n° FG7684

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 20:45

Somptueuse déesse, au parfum naturel enivrant, nymphe à la chair affriolante, magnifique femme à la blancheur d’albâtre, ne changez rien à vos aveux pleins de charmes, beauté immaculée et libérée sachant se faire désirer, superbe et triomphante clarté qui a su toucher mon cœur. Mon senti…. ment ? Je n’ose y croire. Un seul homme peut-il satisfaire tous les désirs que vous inspirez ? L'œil ne révèle qu'une infime fraction de ce que vous pouvez offrir.

Vous suscitez des pensées insidieuses qui s’expriment par mon regard pénétrant. C’est une invitation aux attaches célestes où toutes grâces abondent. Femme dissidente aux maigres pudeurs, dressant ses seins. Parole étouffée par l’émoi, je dénude vos désirs subtils. Laissez égarer votre impatience dans la luxure et la décadence ! La tendresse de cette femme... ce paradis en espoir. 

Allongée, pour une nuit sans sommeil, un ciel étoilé de désirs bouleverse votre corps environné, confronté à l'errance de mes mains, frémit sous d'invisibles flammes. Aménités mutuelles. Plaisirs qui s'éveillent sous mes caresses qui recouvrent votre beauté, marbre de chair aux fiers contours. Je m’égare en vos méandres. Grâce intarissable aux hanches plantureuses cambrant ses rondeurs, je vous accorde toutes mes faveurs.

Toute ma tendresse à votre fruit emperlé, moment descellée par mes feux ardents. Effleure du mâle. Ma bouche moite généreuse, douceurs florales à vos lèvres intimes, brûlantes de désirs. Délices accordés en prémices aux audaces profondes en votre essence, je savoure, véritable appel à la débauche qui nous mène à la magnificence des ébats féconds.


photo d'Elle réalisée par Ys

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 00:08

Cette aire légèrement bombée, de la blancheur des lys est de vives beautés. Ton magnifique abricot, dessiné d’un délicat trait soulignant l’entrée de ton alcôve, fruit de toutes les saisons, fruit de ma déraison, fruit de nos passions, fruit asile. J’admire ta vulve enflée, légère toison annonçant tes courbes de suavité, fruit mur à la chair ferme, pulpeux, toujours prêt à être divisé en deux. D’un plaisir trouble, tu te laisses gagner par la douceur de mes caresses. De la pointe de la langue, je cajole cette tendre fente, d’où exhalent de parfumées senteurs. Une douce quiétude t’envahie.

J’ouvre ton nid, juteux et délicat, pour me délecter de ton envie aux délicieuses saveurs. En ta commissure, je rends hommage à ta perle et suce subtilement ton fruit qui m’extasie quand perle ta rosée en gouttes riches et tendres, en ma gorge avide. Ma bouche gourmande plonge en tes eaux profondes Ma langue perfide en ta chair fragile s’anime pour recueillir ton flot sur mes papilles. Je savoure... je déguste lentement pour longuement apprécier. C’est le délice en ton calice  Je me délecte en ton aisance de ton musc, aussi doux que du miel. Douce heure, plaisir échangé, partagé. . Ivre de ton nectar fruité qui n'a pas son pareil, par mes tendres dévorations, tu deviens sauvage. Sur mes lèvres goût imprégné... chaudes, humides et aventureuses, elles répandent l'allégresse. Tu m’invites, en silence, à oser aller plus loin. En position de pénitente, tu me sollicites afin que je t’habite. Ma proue te stimule, en venant se tendre en ta chair. Robuste et souverain, en ton fourreau soyeux, je prends d’assaut ton lotus ouvert. Ton coeur s’affole. La passion l’emporte, d’un bel entrain dans ton humble rotondité. Ardeur tendre et mutuelle. De mes délires, telle une houle aux ondes profondes je viens cogner contre les plages de ta chair vultueuse. Sensualité, exacerbation des sens par ma charge érotique. En ton ventre chaud, vives éclosions secrètes, un feu d’artifice, au soleil de ton corps, qui met nos âmes en liesse.

Copyright©Tous droits réservés - Ys 2007 - Texte déposé n° FF9671

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Vendredi 25 avril 5 25 /04 /Avr 17:23

 

 Deux petites sphères que je place délicatement à l'orée de mon antre, puis les glisse au fond de mon jardin secret et les dispose côte à côte. Elles s’agencent. Par d’irrévérencieuses folles envies, mon sexe épilé enveloppe ces petites friponnes. Elles ne tardent pas a frissonner lentement, sonnant l’angélus annonciateur de futurs multiples orgasmes. A présent, parée en mon ventre, de ces petits objets aux joies multiples, j’erre dans l’indicible. Ces belles et tendres voyagent en ma chaude moiteur. C'est exquis. Lorsque je m’apprête, chacun de mes mouvements fait délicieusement communiquer ces jumelles, fruit d'une rencontre totalement aléatoire mettant mon esprit en appétence. M’en allant, je savoure ces effets troublant. Je soupire de bonheur. Plus j’avance, plus cette vague de chaleur m’envahit. A chaque pas, elles trépident de toutes leurs forces. Tous les plaisirs des ondes de choc remontent du bas de mon dos. De mille feux animés, ces insoupçonnables présences font vibrer ma chaire. De mille sursauts, mon ventre est en fusion. Ces petits chocs et roulements m’envahissent d’une flamme qui me ravie. Je ne peux m’attarder, j’ai du mal à me contenir. Mon ventre fait la houle. De multiples frissons couvrent mon corps. J’ai envie de me soulager. Je ne peux me laisser aller. Le souffle court, ces câlines ne cessent de s’entrechoquer et ceci me procure une incroyable excitation, sublimes sensations. Avançant plus prestement, ces délicates et mystérieuses me chargent d’émotion. Mon attention vacille. Les deux douces me cajolent aux rythmes de mon allure, me menant à chaque fois à un raz-de-marée orgasmique. Je suis submergée par des vagues successives de jouissance. Mon yoni se libère de manière maligne, nouveau voyage vers l’humidité. Enfin je suis chez lui, j’ai une envie incontrôlable d’être prise et reprise, de jouir en des abysses érotiques.


Photos de  Maitresse Tatiana
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Vendredi 18 avril 5 18 /04 /Avr 10:27

Angel et YS, après quelques contacts virtuels, ont décidé de se rencontrer, afin de mettre au point un plan totalement diabolique, dont j’en serai l’heureuse victime. La concrétisation est proche.

 

Malgré mes doutes, aucune réponse ne vient pour me les ôter. Même le regard d’Angel que je tente de transpercer, ne m’apporte aucune confirmation. Revenant du travail, je trouve la maison vide. Seulement un petit mot d’Angel sur la table du salon, m’indiquant le lieu et l’heure où je devais le rejoindre. A côté de cette missive, une rose rouge sang est posée, sur une jupe, des bas et une guêpière noirs. Le parfum de la fleur m’enivre. Je me prépare anxieuse, nerveuse et interrogative. Arrivée au lieu et heure dits, l’émotion et l’excitation sont à leurs combles. Je remonte dans l’allée avec cette rose, dont son essence éveille mes sens. Je n’ai pas le temps de sonner, qu’Angel ouvre la porte et m’accueille par un baiser langoureux. Ses mains chaudes parcourt mon corps, déjà si sensible. Il me fait entrer dans le salon où étincellent des dizaines de bougies. Leurs flammes sont la seule source de lumière. Une fragrance masculine, que je ne connais pas, me monte au nez. Mais avant qu’un son ne sorte de ma bouche, Angel pose un doigt sur mes lèvres. Délicatement, il me bande les yeux d’un foulard de soie noir. Ce parfum inconnu, se fait plus intense et se rapproche. Je sens ta présence. Qui es-tu ? Qui est avec Angel ? Est-ce toi YS ? Quatre mains partent à la découverte de mon corps. Je ne peux rien faire, je suis soumise à leurs caresses et leurs désirs. Une chaleur me brûle le ventre. Les frissons envahissent mon corps. Je ne contrôle plus rien. Je suis vôtre. Peu à peu nos corps se mélangent. Ils ôtent vos vêtements. Nos corps nus, ne font plus qu’un.

Avec eux l'incongruité des contingences créée un espace de liberté. Je jouis de cet abandon de tous repères, de ma réddition. Cette absence de maîtrise sur le déroulement des événements. Ce mélange d'appréhension, de curiosité et de satisfaction. Cet attrait de situations inattendues, inavouées ou inavouables. Incontrôlable désir, insoupçonnables plaisirs, je me plais à être cette femme libre de tout interdit, totalement soumise à la puissance de leurs convoitises, me laissant guider dans les eaux tumultueuses, les laissant festoyer de mes charmes. Mes seins, devenus très sensibles, se mettent à durcir sous leurs caresses. Leurs mains agiles et gourmandes parcourent mon corps. Quatre mains nomadent, corps offert, ouverte aux plaisirs, se croisent, à l'unissons, sur ma peau, infinité caresses, voluptueuse tendresse.... des frissons incandescents naissent, chair attendrie qui consent. Je sens des doigts glisser en mon sexe,....qui viennent m’envahir au plus profond de moi-même réveiller ce volcan en mes entrailles.

Une langue, habile, lubrique, amusée, qui me fouille, follement animée. Flatteries, gâteries, douceurs si excitantes, ma fleure veut éclore. La chaleur envahit, doucement, longuement, en silence, l’intimité de mes sens. Une tendre plainte sort de mes lèvres et je serre plus fort cette tête jusqu'à ce que je me laisse emporter de plaisir. Je sens une autre bouche affamée passant entre mes fesses, singulier appétit qui me plaît, élan velouté La jouissance est imminente. Je ne pense plus, je ne vois plus, je n'entends plus..... Je ne sais plus si je suis rêve ou réalité, troublant vertige. Nos corps, épousés, emmêlés et doux baisers, continuent de me consumer et se fondent en douceurs angéliques. Je suis leur harpe d’amour, jouant sur toutes les cordes de mes sens. Les corps ondulent d’un feu brûlant, s’enchaînent, se bousculent, se soulèvent, puis s’enlacent, complicité indécente, mêlant habilement rudesses et douceurs, insondable connivence. Dans le creux de ma chair ils forgent leurs délires, indéfinissable accord, virtuosité dévorante de la symphonie de leurs ardeurs, affinités charnelles aux ressources sans fin et sans gêne, saveurs animales. Emmêlés, corps à corps farouche, ardents, passionnés. Corps et âmes en liesse.

L’un de sa hampe torride me pénétrant, me fait tressaillir. Va et vient aux abysses des profondeurs. Alors que l’autre enfonçant son glaive, forçant les portes de ma prospérité. Virulence qui me pénètre, la bête s’acclimate immédiatement, Je ne puis plus me contrôler déferlantes secousses, tremblements. Leurs étreintes de voluptés me transportent en des élans souvent confus. Un long frisson de mon ventre parcourt mon être. Libérer ce feu trop longtemps contenu. Vives frénésies brûlantes en mon être où le miel se glisse. Je sens en mon âtre de longs flots s’écouler. Un spasme exquis m’agita toute entière. vent fougueux de leur ardent désir. Sur les flots de nos plaisirs , lorsque, enfin, jaillissent en moi, en toutes mes ouvertures, leurs vagues généreuses, en flux plein de puissance. L’orage éclate, nous laissant jouir en cœur. Je me sens inondée par leurs flots de vie.

 

Eva (sur toutes les photos) et Ys (écrit en commun il y a quelque temps)

http://lesemoisdeva.canalblog.com/

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Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
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