ma prose... sensuelle

Samedi 7 février 6 07 /02 /Fév 14:49

Pourquoi ne pas me suivre dans ce monde onirique où ne subsiste nul interdit.
Je m’appellerai rêve, érudition fantasmagorique, délire passionnel, songe d'un instant exquis de volupté...laisse toi me suivre dans cette autre dimension, juste pour ce plaisir imaginaire que je t'offre comme une senteur étourdissante....
Je te mets à nu, tu es nue...mon regard inquisiteur se pose sur chaque détail de ton corps, chaque courbe, chaque détour. Tu ne penses plus, ne vois plus, n'entends plus..... Mais chaque centimètre de ta peau est comme à vif, sensation exacerbée, assoiffée, avide du moindre souffle, de la moindre caresse.
Tu me devines, me ressens....Je suis là, je t'observe, te toise, je te désire, te veux...j’approche ma main t’effleurant...Je te redessine.
Tu sens mon souffle qui t'enveloppe, mon souffle court, souffle chaud... souffle qui t'emprisonne dans mon délire. Tu n’es plus qu'un corps que j’admire, un objet de feu et de doux supplices....dont les effluves viennent m'envahir au plus profond de moi-même. Je viens éveiller ce volcan caché entre tes cuisses...
Tu n'y tiens plus....mes doigts te frôlent dans une délicieuse brûlure, tu frémis. Ils te parcourent, ils te caressent avec retenue, comme on caresse un objet trop fragile.. Tu ne sais plus si ces instants sont rêves ou réalités. Et tu te plais à être cette femme libre de tout interdit, totalement soumise à la puissance de ma convoitise...Tu te laisses glisser sur les eaux tranquilles d'un monde nouveau, libérateur de tous tabous, de toutes questions, au seul but d'une jouissance sur naturel, vers laquelle je te guide...

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 14:56

Ce n’est pas la partie du corps de la femme qui recueille mes préférences mais indéniablement celle qui attire en premier lieu mon œil ….lubrique.

 

De dos, de la césure du genou chair pâle de lumière qui rend les ombres éphémères jusqu’à la petite porte entre vos reins. De profil, contours évocateurs de plaisirs ludiques. Sculpture éblouissante s’épanouissant jusqu’à la commissure de fesses, exquisément agiles. De face, c’est par elles que mes désirs érotiques s’intensifient, elles qui mènent au sanctuaire ou en condamnent l’accès en formant un " Y " laissant uniquement apparaître l’émergente fleur de virginité, tendre intimité. Dessous, d'une ampleur solide se prolongeant pour mener au ciel obscurci, contour évocateur dévoilant une beauté indicible, tiédeur sensuelle, l'audace des lignes naissant de ce pli ombreux où la nuit persiste, formes divines en appel de cette fraîcheur apéritive ou les sentiments s’égarent chaud trésors de votre ventre où brûlent mes folles ardeurs, délices foudroyants.

 


Je les aime fermes, souples, d’une certaine ampleur plutôt que fines. Non drapées, ni voilées, nues, cette vision charnelle envoûte mon âme. Désormais communément exposées, elles réveillent néanmoins, à chaque moment, chaque instant, la chaleur de mes désirs. Lors d’une démarche d’une légèreté avenante, impudique et hardie, le vent de l’extase s’amuse à les couvrir puis les découvrir afin de me faire profiter des grâces et des charmes de la divine nature, focalisant mon horizon. Rondeurs lisses et blanches ou hâlées, découpées ou non de jarretelles ou dentelles, donnant un air aphrodisiaque à vos secrets d'alcôve. Jambes pliées, croisées, ou droites comme l’épée du galbe cambré, ces longues courbes mènent aux champs d’ivresse et irriguent mes sens de générosités.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 11:32

La beauté est dans l'oeil de celui qui regarde et quel ravissement ce corps délicieusement proportionné dans cette lingerie audacieuse. Elle a la prestance de ses ambitions. Cette hédoniste au corps épanoui recherche son absolu eidétique. Elle est en quête de plaisir, d'esthétisme, de ce monde merveilleux d'ombres et de lumières qu’elle ignore encore. Elle souhaite découvrir un nouveau champ des possibles par une vie moins vanille, plus exaltante. Son fantasme ordalique prend toute sa signification dans cet impératif où l’option de sa propre émancipation perdure. Le Je, pour elle, est un autre. Ce don de soi, dans une relation épanouissante et progressive, est une euphorie aspirant à devenir aussi naturelle que la respiration.

 

Sa soumission est son écrin, dans un amour si profondément intense qu’il ne peut être appréhendé. Les substrats des contrariétés quotidiennes laisseront place à des satisfactions effervescentes. Elle livre, en confiance, tous les secrets de son corps. Elle a peur de décevoir. Cultiver les paradoxes, se sentir libre lorsque l’on est tenu. Oxymorons de plaisirs. Le désir n’est jamais serein, la jouissance permet de sortir de cette étreinte par ce jeu de partage en accomplissement de nos envies sexuelles. Dans la valence des dispositions, plus que de se faire tancer l’interdiction de jouissance est, pour elle, la pire des punitions. Elle veut être celle qui vibre sous cette voix, cette main, cette caresse perverse.

 


En situation inconditionnelle, l'exacerbation des perceptions est favorisée. Exploration du vaste paysage du plaisir, en parcourir les différentes formes et s’enivrer de toutes ses saveurs. Mes errements alternés de longs instants empreints de vacuité suscitent, en elle, l’appréhension et développent l’acuité. En pèlerinage d’émotions, jouant de ses savoureux points névralgiques, par ses effets désinhibiteurs et sensuels, elle désire nullement se soustraire à cette médiation du plaisir qui améliore tant la capacité à entrer en relation avec les autres et à atteindre un état de complétude. Ce circuit anatomique de récompenses mène au système mésocorticolimbique.


A corps complices, la perversion est mise à nue avec envie. Dans la brume de ses désillusions, le chemin s’est éclairé,
récompenses dopaminergiques dont le corrollaire est le risque d’addiction. Sentiment de proximité émotionnelle dans l'étendue extraordinairement fertile de nos activités productives. Nous transgressons les tabous de manière délicieusement subversive. Obscénité sublimée par les excès libérés en mon emprise. En sa source intime de chaleur, telle la foudre sur son corps impatient, ma substance empathogène au métabolite actif pour le  chepchep conduisant à un futur indéfini. Ma voie lactée la mène aux étoiles. Elle est promue Reine en mon royaume par l'hardiesse intrinsèque de mon tempérament.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 14:20

La reine de cette nuit avec ses défauts, qui font leur humanité, nue, portant l’essentiel, équilibre du corps et de l’esprit. Elle brizze l’innocence des désirs en cascade. Sa beauté si personnelle, sa grâce en chacun de ses mouvements mettent mon coeur en apnée. De contempler ainsi ce doux présent, mon âme s’évade vers un ciel inexploré. Elle se couche en murmures et se blottit contre mon corps, chaleur unissant nos êtres et nos cœurs. Son odeur éveille mes sens, je bruisse sa peau de mes envies De son corps sage, fais gémir les zones sensibles.

Elle admire la belle taille de mon long qu’elle harcèle du bout de sa langue. Les corps étrangers ont le goût capiteux du secret, ses papilles palpitent de plaisir extasié d’une virtuose prenant du plaisir. Elle joue tous les accords de l’instrument à queue pour mon plus grand bonheur. Par le jeu de lèvres et de doigté s’exprime toute la puissance qu’elle module. Celui-ci s’anime et donne sa pleine mesure. Ses lèvres enserrent mon sceptre. Bien qu’elle le suce, douce torture à mon prépuce. A mon méat point de culpa, elle se délecte de son envie. Perdant toute sagesse, elle a l'audace de me provoquer au jeu d’un doigt indiscret à mon œillet. Une onde de plaisir m’électrise. Avec sa bouche, elle pense décider de mon sort. Mais, sans indulgence, délicieuse irrumation sans conclusion.


Pas de trêve en ces instants où la parole est futile. Suivant son sépulcre sentier, attiré par ses douces effluves, soyeuses caresses à sa prude anse où j’aime y faire le con. A sa source, je puise mon eau de là. Cette luxure magnifie son corps animal pris d’une houle femelle. Ô agitée, elle se confesse. La réponse à mon interrogation, si cet Ô sera suffisamment bas, vient de m’être donnée. Dans l’élan de mouvements subtils, elle invite ma tour flèche dans sa chair. Ma sybarite devient furieuse d ans le feu de son âtre, plaisir intense.



Dans ces folies amoureuses, ne pas baisser les armes, garder haute la garde. Le dessert arrive en pièce montée. Mon cierge dans sa nuit pénètre, en offense, avec une douceur brutale. La contrainte de ma chandelle, toute dressée, flamboie à sa sensualité anale. Dans l’ampleur de sa chaleur, je deviens redoutable. Hampe, en combustion, déverse sa sève dans ses profondeurs. Nous brûlons au feu de nos effusions.

 

Elle brisera mon cœur. Est-ce le prix à payer pour ce qu’elle m’a offert ?

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 14:04

Dans de hautes bottes noires qui s’achevaient en talons aiguilles, vêtue finement élégante et parée de séductions. Ce corps sculptural est un véritable appel à la jouissance. Souvent sans petite culotte, aimant ressentir s'engouffrer, entre ses cuisses, les promesses d'innombrables amants. Grisant alizé. Désinhibée, elle sent le pouvoir qu’elle a sur le sexe masculin. En parades charnelles, cette femme affolante maîtrise ces domaines, toujours aux commandes de leur bourse, sésame ouvrant les portes du plaisir. Cette femme aime l’énergie, et l’intelligence que ses amants ont dû déployer pour la séduire. Elle avait envie de devenir un fantasme et c’est, à présent, fait. Sexual fashion ? Ses caresses sont Elle. La sexualité n’est plus, depuis longtemps, fortement cadrée, normée. Elle joue avec la vulnérabilité des hommes qui sont soumis à ses gâteries, accordant parfois, à leurs fébriles souhaits, de sensuelles satisfactions.

 


Elle veut cultiver sa vie fantasmatique. Son être a besoin de s'épanouir librement. Elle veut aller jusqu’au bout de ses désirs sans cesse tester ses limites. L'appel à de nouvelles expériences se fait sentir. Elle veut consentir à l'impossible liberté sans sacrifices. Après avoir fixé les règles élémentaires je lui ouvre la voie. L’apprivoiser pour faire renaître la femme, la soumettre à mes discrets pouvoirs. Une autoritaire à taire, genoux à terre.  Je l’invite aux voyages. Elle devient impudique pas au sens qu’elle l’entendait, mais au mien. Toute sa libido est liée à ce doux abandon.

 


Nue, par les forces d’ombres et de clarté, se présente à moi, mer de nacre dessinée par des liserés de lumière. Impressions oniriques mettant en valeur ses fesses rebondies, douces, parfaites. Rien ne peut divertir mon regard ébloui. Les femmes ont bien des atouts que les hommes n'ont pas. La lumière tamisée donne à ses formes des éclats cuivrés, cap sur le paradis hyperboréen. J’explore les ombres qui l’agitent. La fleur du mâle ouvre peu à peu son épure. Entre ombre et lumière, le caché est plus libre et plus riche en nuances chromatiques, lèvres intimes enflées de promesses sensuelles. Par de désarmantes attentions, je l’absorbe, la déborde. Mes sens gonflent contre ses cuisses. A mes injonctions, elle opine, fervente avec une louable générosité, pour une fellation d'anthologie. Maître des agencements par dévers elle, plaisirs avoués ne veulent pas être pardonnés. Je veux voir vivre sa lune, dompter cette clarté sur les égarements et les impasses du désir. Cette envie animale qui m’anime, éveille ses sens. Cette femme, à la peau brûlante, m’appelle de ses soupirs et de ses gémissements qui m’enivrent. Son corps se courbe, se crispe, se trémousse, s’affole par d’infinies sources de plaisirs. Attisée par les flammes de la passion jusqu’à la déraison, jusqu’aux frissons, son corps ne lui appartient plus. Plongeant dans sa nuit étale, Maître de forge au cœur de son corps en fusion, j’emplis tout son antre de chair bouillonnante de mes larmes intimes. Je la consume par les braises d’un amour canicule, tourbillon des émotions. Partageant, ainsi, éperdument l’extase, nous nous fluidifions, consécration de notre bonheur commun.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Mardi 13 janvier 2 13 /01 /Jan 18:53

Belle à bon Dieu qui possède des elles. Mon ciel prend ses racines en vous. Vais je percevoir l'infini, l’infiniment beau, sans me situer au-dessus des lois, mais au-delà ? Chaque parcelle de votre peau semble être un éclair. Devenir le rêve de cet ange est un pas dans les nuages avant de courir dans les étoiles. Les romans ne commencent, ni ne se termine par la queue, à moins que…. Je fais le cygne pour lui faire signe. Je suis homme affable et non à fable. Aux secrets de mes encres, je révèle mes intentions empruntes de délicatesses. La pensée est une corde. Saisissez un bout je suis à l’autre bout. De mon sceau de flammes et de silences, la musique de vos soupirs refait son plein d'écho. Mes caresses sont les vagues de douceurs de la mer de mes émotions en furie. Lorsque vous me faites partager votre corps en appel, l’amour me devient présence. Lieu où ma main est attendue, je sens votre plaisir s‘arrondir et s’ouvrir à l'exultation. A votre mont de Vénus, le bouton se tend, enfle et s’enorgueillit. De ma langue, je feuillette vos délicieux replis, à vos lèvres intimes sont écrits vos désirs en lettres trempées. Quand le soleil a atteint son lit, vers ce lieu extatique, c’est le temps de légèretés. Mon vis prend vie, avec ampleur jusqu’au cœur de votre intimité. Votre corps est à l’abandon, noyé dans la jouissance par ma hampe, rubescente et prodigieuse. Novice ou professe, jusqu’au vertige, je vous réponds à l’encre blanche à votre point de dilution. Je vous murmure. Ne me faite pas trop attendre car le manque est une unité de mesure des sentiments. Mille ans passés depuis hier, que sera demain.

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Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 18:36

Femme altière, qui n’échappe pas aux regards des hommes, met aussi l'âme soeur en admiration. Ne pas se limiter au champ masculin, élargir la portée de ses échanges. Chaque femme est une œuvre, votre sensibilité trop réfrénée cède à cette incoercible attirance. Dans le désir, cri de l’âme, nous nous révélons à nous-mêmes.
Elle est si désirable que vous vous abandonnez aux plaisirs de Sappho, l'émoustillant des amours féminines. Emue par son regard, privant votre liberté, et mue par sa grâce corporelle, son attirante félinité, vos émotions vous transportent, soulèvent la tempête dans votre cœur. Ses paroles, toutes en sensibilité, vous tiennent, moments de caducité totale de l’homme.
Elle porte votre visage à son cœur et vous sentez que sa poitrine est également ébranlée par l’enchantement de vos doux baisers. Préludes câlins, épanouies l'une à l'autre, parce que aimée, aimant. L’essentiel se suffit de peu de mots. Ensemble vous étreignant, vous vous livrez aux plaisirs à son astre sur la carte du septième ciel. Nulle tentative de restriction de cette fièvre étrange. Elle darde fougueusement de sa langue à votre fruit déhiscent. L'amante d’Aphrodite est en festin bien garni à votre fontaine de jouvence. Les biens symposiaques. Enflammée par ses richesses, votre corps se consume d'amour physique partagé. Plénitude aux couleurs de triomphe. Duo des anges. Acceptez que je vous contemple.
Quel ravissement ! Je vous appelle pour me permettre de m’immiscer, en complémentarité, dans votre halo d'amour. Laissez vous succomber aux plaisirs dispensés par l’impertinence de mes engagements. Cédez donc en y mettant votre plus grande gloire. Ainsi, ma force s'en est allée en Vous, la fortune m’a souri, aussi.

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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 17:27

Vous, si sereine, si reine, sirène qui, sous tant de beauté, est abritée par une paix incertaine. Laissez vous appartenir à ce bonheur espéré. Echangeons nos regards, peut être vous sauverai-je des adieux, des mélancolies du passé, de cet avenir banal, obscur terrier. Votre cœur à mer n'ose gagner la terre ferme qui se dessine aux iris de notre univers. Je veux votre bonheur, je pense le bonheur, je souhaite vous l’offrir, sans compromis, en toute générosité. Vous aimer plus que les autres que j’aime dans leur liberté. Ce n’est pas aisé, peut être une utopie. La passion n’est pas sans danger. Il ne m’échappe pas que la beauté des corps ne soit pas toujours à l’image de la beauté des âmes. L'âme de la jouissance est dans la personne. Le corps vient avec une âme, sinon il n'est qu'objet*. Faites du bonheur l'obsession de votre vie. Il n’est pas suffisant de se laisser caresser par la satisfaction. Enchaînée dans une Inde essence, vos sentiments déchaînés s’enflamment de cette attente, révélez-moi vos non-dits.

Par don, vous vous offrez comme un cadeau du ciel, vous vous confiez de tout votre être de toute votre âme, en toute complicité. La sagesse se trouve dans l’attente et prenez le temps inoubliable de remercier le véritable désir. Mes paroles inondées de tendresse attisent votre impatience. Sans résistance, dans le désarroi, mélange de mystères et d'incertitudes, de doutes lancinant, vous vous laissez emporter, par l’envolée du silence des soupirs. Avide, brûlante d’impatience vous avez une envie folle, et perdue, de me déguster mais je veux vous faire supplier et hurler votre plaisir. Laissez vous emporter dans l’abîme des envies les plus fantasques. Respirez mon souffle pendant que je joue sur un dos majeur. Je suis le messager traversant vos vallées, s’égarant sur les sentiers cachés. Splendeurs excessives de vos creux délicats, de vos courbures irréprochables. Votre impatience s’achève à vos lèvres, une gorgée d’un baiser. Ma bouche torride pleine d'ardeur fait de vous un brasier. Votre bouton dort sur cette tige ? Liesse en toute ouverture qui donne la fièvre et met votre corps en émoi. A vos lèvres affamées, qui s’affolent par mon désir, j’accorde mon sexe bien bandé (comme un patient..). Ensuite, votre corps comme mon point d'enclave, je glisse et pénètre votre cavité pelvienne Libération en communion. Mes pensées disent que je vous aime.



* phrase de Chabot : des corps et du papier

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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