ma prose... sensuelle

Vendredi 20 mars 5 20 /03 /Mars 22:42

Elan vital pour quelques ailleurs, si belles et cybeles aux ardeurs attendrissantes ne délaissant aucun de leurs désirs, elles s’abandonnent au souffle chaud de l’autre. Le plaisir s’élève en finesse. Leur corps alanguis attendrit mon regard. Offertes, lèvres ouvertes, de longs frissons parcourent vos corps dénudés. Belles formes ondulantes, aux pointes dressées, que monte en vous l’ivresse sensuelle la plus délectable. Multiples frémissements sous la chaleur de vos caresses, l’une se laissant étourdir par le soyeux de la peau de l’autre et réciproquement. Laissez mon regard vous usurper, souligner avec délectation les moindres courbes de vos corps. Dans la jeunesse de l’été, je vous contemple. Excitées, trempées, aux corps fragiles, animées de soupirs et de chants langoureux de murmures. Vous entendre gémir légèrement, douce musique. Humectées viennent en bouche, langue qui vénère, l’une à l’autre, la féminité de leur anatomie. Friandes du grain de votre peau aux mille protubérances lorsque vous vous touchez mutuellement, illustration d’autant de frissons. Vos corps sont feus de joies. Plaisirs extérieurs exaltant vos passions intérieures.


Je sens le désir monter, à trois le plaisir est bien plus grand. Je ne peux retenir mes  sensuels élans. Peaux tant convoitées, au printemps de vos plaisirs, je gourmande votre chair en bourgeon. Réunis en votre secret en un même jeu, êtres embrasés, nous nous savourons encore et encore, nous gorgeant de vigueur. Vous êtes si belles dans la chaleur de l’orgasme. Possédé par vos extrêmes, aller au-delà de ces instants de grâce et de volupté érotique. Superbes impudeurs écloses, s’ouvre à mon ardente envie tout le champs des possibles. Fleurs de vices exténuées, ma prétention devient définitive. Je sonde, l’une et l’autre, votre âme et m’y dissous. Quand je n’y serai plus, restera la trace de ma vertu.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 15:36

Prendre délicatement et tendrement vos fesses, faire l'amour en raie majeur à votre cul. Mes baisers en pointillés autour de votre oeillet dessinant avec application le contour et les plis. Ma bouche en coeur dépose délicatement des baisers, si doux, si intenses, si uniques et si précieux que vous en avez des frissons.
Votre cul, je le baise, je vous baise, prenant le temps, faisant durer le plaisir. Vous sentir, vous respirer, vous goûter, une éternité. Ma langue glisse, taquine, lèche, s'agite. Vous la ressentez humide et chaude. Vous gémissez, j'aime votre expression. Plus vous soupirez, plus vous m'excitez. Plus vous m'excitez, plus je bande et plus je bande, plus j'ai envie de vous donner du plaisir.
Vous caressez votre clitoris, glissez un doigt dans votre chatte trempée de désir. Vous murmurez, vous vous détendez, vous vous tendez, vous vous abandonnez, vous vous donnez, je vous donne. Zone de dépression en votre atlas. Votre abysse s'ouvre, m'appelle, me veut, en veut,... plus... toujours plus. Ma langue continue amoureusement sa folle danse, caresse, câline, frôle, bouge, s'active, tourne, tourbillonne, joue pour mieux vous affoler, vous faire jouir.


Inspiré de Hélène M….. modifié et transposé.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 13:11

Je ne peux détacher mon regard de vous. Vous êtes très belle, encore plus belle, beaucoup plus belle sur votre monture. Mon regard plein de désirs, affamé par les générosités de votre corps. Propitiation qui fragilise mon âme, vous me désarçonnez. Couleur de cheveux de femmes fatales à l'allure avenante, mes pensées s’emballent suivant les allégories de votre bassin. La cambrure ansée de vos reins exergue vos fesses austères.


Jambes nues, musclées, offertes, je jalouse ce fier étalon faisant le con avec une douceur infinie. Vos hanches qui épousent cet équidé. Trots, galops indécents comme un immense olisbo sur vos lèvres intimes, troublant incessants mouvements de va et vient entre vos cuisses. Furieux désirs contenus. Prenez les rennes qui vous mèneront à moi. Je ne peux et ne veux vous laisser au bestiaire, soyez mon hôte tension, éblouissante cavalière. Etre selle, celui sous votre lune blanche, épopée sur le grain de votre peau.


Chevauchez-moi ! du débourrage jusqu’à la restitution des mouvements naturels les plus élaborées. Je suis votre fougueux étalon à la recherche du royaume des abysses. D’humeur saharienne, accroupie sur mon corps pris entre vos cuisses, vous enfourchez ma colonne de chair dressée, vous vous y empalez en étroite union. En harnais de vous, à cru, je rue à votre croupe. Femme de mes rêves nulle trêve, vous caracolez sauvage. J’aime vos manières cavalières, votre crinière en course folle, je m’anime mâle en vous. Je suis votre alezan, je me cabre, en belle allure je vous donne un peu de moi, beaucoup d’émois. Pensées en canicule, je distille mes râles.
 


Nous étions en cavale hier, vous sans lui et moi sans elle, seuls vous et moi

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 18:05

Sans maquillage, vous en êtes que plus belle. Sans parfum, uniquement votre essence naturelle. Lâchez-vous ! Mon jugement n’en sera que plus clément. Amusons-nous, vous de moi, et inversement. Le plaisir partagé est le plus beau cadeau des amants, et, s’il n’en était… quel plaisir de donner du plaisir, douce procuration.

Patience et longueur de temps accroissent le désir, alors hâtons-nous lentement à succomber à la tentation. La sagesse de la connaissance de l'autre passe par la densité de la patiente découverte.

 


Par d’infinis cunilingus jusqu'à vous rendre folle, vous voir vous mouvoir, gémir de plaisir. Quel plaisir de donner vie à votre corps, délicieuses fragrances. Ma seule ambition, votre jouissance en plaisirs intenses. Par addiction, nous oeuvrons en désinhibition.
Explorons les extrêmes de notre sensualité. Se donner selon nos désirs, se jouer des circonstances en toute insouciance, belle prétention au regard de vos exigences. Passion en d’affolantes obscénités, la folie des sens est le tourbillon du firmament. Dans votre univers, être votre douce singularité, un moment, un instant, longuement réitéré.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 21:38

Beauté, ô pâle, aux reflets d’aimant.... Vous désirer sans trêve, vous faire l'amour charmant dément, comme nul autre amant, gouverné par Vénus. Femmes de mes pensées, bouleversante féminité. 

En voeux exaucés, toute pudeur envolée, nos corps se caressent pour leur donner les prestiges de l'esprit. Enivré par l'odeur de votre douceur, ma pine up. J’agace le bout tendu de vos mamelons gonflés, pressant l’espoir de vos seins, les pointes se durcissent de désirs, dessin d’amour.

De dispositions en attitude, Souveraine à ma zone sensible, sans s’embarrasser de fioritures pour ne pas être condamnés au superficiel. Abrogez les lois, Make me cry in vicious games, un état qui sévit pernicieusement dans mon corps.

Enjoué, je me libère en alizé sur vos plaisantes contrées, doucement vers le bas de vos reins au petit mont de luxure. Vous gémissez de mes baisers apposés à la lisière de votre félicité fendue. Entre vos cuisses qui m'enserrent, mes lèvres avides savourent votre antre brûlant et humide. Votre liqueur et vos senteurs me ravissent.

Des lyres érotiques en délire, vous prenez la noble posture des chiennes. Croupe ardente éperdument ouverte, cul, raie aux charmes denses. Brasier géant de plaisir. Cul somptueux, gracieusement féminin, en appel de feuilles de rose prodiguées, Saints des Saints de l'impudeur, pendant que mes doigts sur vos lèvres intimes font monter la fièvre.

De positions en condition, vos jambes contre votre poitrine, pour vous pénétrer profondément par mes hardiesses. Mon vit tendre votre âme, plaisir en ondes fulgurantes. En vous…… libérer mon envie de vous, en flux or essence. Je vous aime au plus profond de vous.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 17:49

Ce que nous vivons est ressenti avec plaisir ou douleur. Soumission passée à la dictature du paraître, ses impulsions corporelles sont désormais au service de ses jouissances, peu importe le conformisme. Libérée, son érotisme s’inscrit dans sa force de suggestions qui évolue de l’ombre de la clandestinité, à la lumière de la reconnaissance. Les émotions fortes sont plus exaltantes que la satisfaction.

En quête absolue de sensations inédites, elle aime trop l'inquiétude de ne pas savoir. Cela lui procure une sensation inédite. Excitation de son cœur, en état d’alexithymie, dans l'incapacité d’exprimer ses émotions par des mots, le langage corporel vient s’y substituer. L'effleurement, devient source d'une sensualité extraordinaire. Le sling servant parfois de désinhibiteur, elle se prête au jeu des désirs sollicités, irrépressible densité de l'excès, sans meurtrir sa chair d'une nouvelle injure. Les limites du plaisir charnel sont explorées, mais toujours dans le respect du corps et de l'assouvissement de ses désirs les plus transgressifs.

Lorsqu’elle switche, se métamorphose torride, elle est ma précellence érotique. Une admiration qu'elle me force à contenir. En quête de sensations clandestines, par de licencieuses truculences, l’espace pour respirer est parfois très étroit. Elle s’adonne aux plaisirs d'une profonde diversité par les excentricités de sa conduite sexuelle. Débauches d'orgasmes aux services de ses passions. Sexy temps.

Plus vanille, par les écritures de nos corps, la puissance de l’élan créateur, complexités mouvantes jusqu’à l’épuisement de nos désirs. Vive ardeur, tension insupportable contenue dans l’amour profane. Besoin de profondeur, afin de ne pas rester superficiels. La souveraineté de l’amour se manifeste sous cet aspect festif et séditieux, qui lui confère une aura romantique. Cette suprématie de l'esprit sur les sens.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 15 février 7 15 /02 /Fév 18:36

La beauté n'est pas la représentation d’un bel être, elle est la belle représentation de cet être. Concept de la totalité autonome, pourtant n’est ce pas de la fêlure en chacun d’entre nous que vient la lumière ? Ainsi, la perception est prisonnière des apparences. Douce geôle que de regarder contemplatif votre lune, matricule des anges, dessinée par les sourires de votre peau. Pensées caressantes. Puisque l’amour est aveugle, vous toucher. Soie… toi ! Exprimez ce secret bien gardé qui vous fait languir, j’ai du sang dans mon cœur et dans mon âme. Mes nuits vous sont promises et tout me sera dû. Au jeu de l’érotisme, créons ces états d’émotion intense. Par la passion, d’un feu vous ondoyant au récif vivant, mon vit s’éprend de votre âme, toute entier dedans, en charge émotionnelle. Etreintes fusionnelles en volutes, se laisser emporter par le plaisir, invasion de l’affectif, sans que le poids de la morale ne vienne rompre le charme.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 8 février 7 08 /02 /Fév 18:30

Exemptez-vous de ces résurgences qui vous hantent, de cette tristesse rémanente qui témoigne de vos tourments. Les vrais paradis ne sont pas ceux que l'on a perdus. Le désir n'est pas mort, comme le temps présent semble vous l’annoncer, cette valeur vous reste. L’amertume clame son désaccord. Il vous faut sortir de cette représentation noltagique et idéalisée. Abordez désormais le rivage en une quête plus large. Tout embrasser dans un feu résilient qui pare les blessures et être imperméable au passé. Explorez les ressorts affectifs. Goûtez à la puissance de plus grands sentiments. Soyez réceptive à la dilection de l’amour. Les désirs s’expriment dans les esquisses du regard, des gestes, en tout échange sensoriel.

 


Ecrivons ensemble une anthologie érotique, je serai votre aède et panserai les blessures de votre âme meurtrie. Vous serez mon Astyanassa, beauté sensuelle et intellectuelle, fragile et pure, qui rendra le pouvoir de réalisation aux caresses dont rien ne peut troubler leur errance. La vie érotique est aussi une manifestation évidente de la grâce divine. De l’un des sens, nous donnerons corps à la créativité et garderons l’improvisation possible dans des pratiques excessives en flagrantes transgressions. Je vous prendrai versus vous me prendrez, étayage objectal. Langues nomades, aussi douces que soyeuses, valorisation de l'intime. Souverain de votre corps, je rendrai votre chair joyeuse par ma vertigineuse douceur. Une émotion profonde vous mènera au sommet éthéré. L’énergie vitale est créatrice.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

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