Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 16:22

trouvés sur le net

Quéquette et Foufoune

Quéquette et Foufoune sont au resto. Qui paie l'addition ?
- C'est Foufoune, parce que Quéquette est raide et que Foufoune a du liquide

Quéquette et Foufoune sont en voiture, et se font arrêter par les flics pour excès de vitesse. Qui paie l'amende ?
- C'est Quéquette, parce que Foufoune est en règle.


Quéquette et Foufoune font du saut à l'élastique. Qui saute le premier ?
- C'est Foufoune, parce que Quéquette a les boules !

Quéquette et Foufoune passent un entretien. Lequel est embauché ?
-Foufoune, parce que Quéquette a l'air d'un gland.


Rubrique "rencontres"

Jeune femme, cherche homme portant queue de cheval.
Coiffure indifférente.


Les hommes (autodérision)
  

Pourquoi dit-on que les femmes ont des pouvoirs surnaturels ?
-Parce qu'elles arrivent à faire lever une chose sans la toucher

Pourquoi les hommes s'asseyent avec les jambes ouvertes ?
-Parce que sinon, ils écraseraient leur cerveau.

Qu'est-ce qui fait que tous les hommes sont beaux ?
-L'obscurité.

Quelle est la différence fondamentale entre un homme et une femme ?
- Un homme a toujours la même queue entre les jambes

Comment appelle-t-on un homme beau, intelligent et sensible ?
- Une rumeur…

Pourquoi les femmes ne clignent-elles pas des yeux pendant les préliminaires ?
- Elles n’en ont pas le temps


Quelle est la différence entre un homme et une tempête de neige ?
- Aucune : on ne sait jamais combien de centimètres il va y avoir et combien de temps cela va durer…

Autres Questions Réponses
Comment on fait pour reconnaître un aveugle dans un théâtre érotique ?
- C'est vraiment pas dur...

Qu’est ce qui se lève quand tu t’en sers. Qui s’abaisse qu’en tu as fini de t’en servir et qui goutte après usage ?
- un parapluie

Qu’est-ce qui est rond, toujours humide avec du poil autour ?
- L'œil !

Que doit dire le soumis quand la maîtresse éternue ?
- A vos fouets, Maîtresse !

Par Ys - Publié dans : humour
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Samedi 11 octobre 6 11 /10 /Oct 18:19

Je t’emporte dans une dimension onirique, à l’intemporalité corrélative, où les principes d’humilité fécondent. Aux frontières de l’effacement, avec grâce et élégance, tu te prêtes aux troublants jeux intimistes, parfois même naïfs. Je n’ai nul comportement saturnien ou aulique pour accéder au primat de tes affects. Ton corps accompagne ma voix sur le chemin des fonds ténébreux de ta propre intériorité. Mes formulations impressives somatisent ton esprit éthéré en gestes frileux. Nul débat pour ses ébats en transfert d’identité. Silencieuse, tu te laisses porter par cette volupté fortement lestée de sentiments esthétiques. En obscénités souriantes, tu goûtes le délicieux charme des incertitudes visuelles. Epurée, tu t’offres à ma gourmandise. Je parcours tes monts aimés, chemins faisant en tes vallées adulées, présents de tes trésors cachés. Les fantasmes en scène, en désordre harmonieux, nous renouons avec la plasticité érotique. Modulations affectives, transgressives, discursives sur ta splendeur. Appétence vivifiée, par tes ondulations félines, se lève ton somptueux festin. Le beau priape est porté à tes lèvres et le con dansé sur ma langue. Témoignage de ma délectation par de longues attentions. Ton corps se fait houleux. Ma hampe s’affermit de plus belles aux délicatesses prodiguées à mon frein. Hédonisme présent et pressant, je souhaite l’accomplissement en toi. Emois des cadences entrent en ton antre. Ta tendre chair ressent ma chaleur de mille suées. Par la montée de sève, mes désirs en fusion en ta splendeur ambitionne de consumer toute ta passion. Unis en ces instants d’ivresse, par l’effet des profondeurs, je t’emplis du plaisir d’aimer.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 9 octobre 4 09 /10 /Oct 21:48
Par Ys - Publié dans : clip
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 5 octobre 7 05 /10 /Oct 09:03
Par Ys - Publié dans : Effroi et froid
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 16:50


Frivole, innocente et impudique
miroir à même le sol en réplique
Elle écarte lentement ses cuisses
s'immobilise et se contemple avec vices
sublime la pointe rose de ses petits seins
s’attendrit à sa chaire, de petits riens
les charmes intimes de sa nature
se sont enrichis de son corps mature
Son joli cul en reflet
Position lascive en couplet


Sa main glisse vers son sexe
et d'un agile et fier index
amuse ses grandes et petites lèvres.
Elle les masse avec velours, d’alentours en retour
caresse d'avant en arrière, son esprit est en rêve
De doux frissons la parcourent.
Des rives de son delta gonflé
lèvres roses, douces, humides et pleines
tandis qu'elle y plonge à perdre haleine
ses doigts curieux et enfiévrés.
Elle s'enivre du roulis de ses caresses
ne délaissant les collines de ses fesses.
Concentriques, ses câlineries tutélaires
attendrissent ensuite les plis de son œillet
Avant de pénétrer, de son auriculaire, ce sanctuaire
trop délaissé et si douillet.
Ses autres doigts continuent d'honorer son clitoris
suscitant des tremblements convulsifs
respiration en cris plaintifs
soupirs de plaisirs pour tout supplice.
Elle se cambre, son brillant miel abonde
l’orgasme, si chaud, si intense, l’envahit
…ne reste pas ainsi
vient, que mes désirs fécondent

 

Copyright ©Tous droits réservés - Ys 2009 - Texte déposé n° AVA6989

Par Ys - Publié dans : mes poemes
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 3 octobre 5 03 /10 /Oct 19:12

Par Ys - Publié dans : Mes compositions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 30 septembre 2 30 /09 /Sep 20:38

Les drogues du viol les plus courantes sont le Rohypnol et le GHB.. Elles sont inodores, incolores et insipides, qui peuvent facilement être versées dans un verre ou sur un aliment. Les symptômes apparaissent environ vingt minutes après la consommation et peuvent durer jusqu'à douze heures. La victime voit son jugement faussé, elle perd ses inhibitions. Les symptômes sont confusion, difficulté à s’exprimer, manque de coordination des mouvements, confusion, parfois surexcitation, etc..

Les victimes donnent l'impression de collaborer avec l'agresseur. Elles ne gardent aucun souvenir des "événements".
Les femmes agressées n’ont aucun souvenir des événements, elles ne peuvent donc porter plaintes. De plus, pour les victimes, le fait de ne se souvenir de rien est une source d'angoisse supplémentaire. Si tant est qu’elles s’en souviennent, elles se sentent coupables de ne pas avoir pu "résister", intentent une poursuite pénale. Elles craignent d'avoir contracté une maladie? le VIH? Ce qui les confortent parfois dans le mutisme. 

Pour porter plainte, il faut faire diligence et subir un test d'urine le plus tôt possible, car la drogue ne laisse aucune trace après une période de 12 à 48 heures.

Pour se protéger des drogues du viol, les femmes doivent toujours garder un œil sur leur verre, ne pas accepter de consommation dont on ignore la provenance et se fier à son instinct dès qu'on a un doute (comme refuser de se faire raccompagner par quelqu'un avec qui on ne se sent pas à l'aise). Sortir en groupe et se surveiller les unes les autres. Si une personne près de vous a un comportement soudainement exubérant ou inhabituel, ou semble plus ivre qu'elle ne devrait l'être, intervenez. Vaut mieux se tromper que de négliger de la protéger. Si vous êtes seule et que vous sentiez un malaise, une désorientation ou une ivresse anormale, téléphonez à une personne proche.

Par Ys - Publié dans : Effroi et froid
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 21:23

Connaître la soumission que par le cours de ton imagination te paraît, à juste titre, insatisfaisant. Tu recherches ces moments peu communs que tu te représentes comme potentiellement bénéfiques. Sois vigilante d’aucun guette, assure toi d’une certaine connivence.

Au demeurant, pour satisfaire tes intimes penchants, il te faudra démontrer une maîtrise extrême, manifester ton désir de te placer en humble position, sans voix délibérative. Ainsi je pourrais, peut être, devenir ton Senseï. Te faire découvrir que la liberté est, parfois, le dépassement des contraintes par le consentement. La contrainte est source d’assurance et la conscience est source de contrainte. Liberté de l’acceptation grâce à la contrainte ou la dépendance, mais ceci n’a pas de sens sans la compréhension et le respect. Donnée immédiate de la conscience qui accompagne jusque dans les états d'aliénation dans sa dimension éthique et ludique imprégnant tous les aspects de la pratique. Spinoza nous a appris à dissocier la morale, de la recherche du bien individuel et collectif. 

Je vais te guider dans ce champ de praxis des jouissances où la notion de disponibilité prend toute sa valeur, t’indiquer ce chemin te permettant de retrouver l’harmonie de tes aspirations, en surmontant ce qui te parait être des obstacles. Par une déroutante discipline apprendre les intelligibles lois de la soumission. Comme dit encore Spinoza : " Ne pas rire, ne pas pleurer, ne pas louer, ne pas blâmer, mais comprendre ". Prends ces attitudes épidictiques identifiables pour souligner tes qualités physiques, et intellectuelles.

Déshabilles toi de ta honte, exprimes ton humilité, révèles toi, y compris dans l’humiliation confinant au ridicule. Désarmée, colère refrénée, laisses renaître la sensualité primale en toi par l’absence de toute maîtrise. Abandon au non-retour. La force s'érige dans l'abandon, et témoigne d’aucun ressentiment.
 

Plus de repentir de ne pas avoir su, de ne pas avoir pu. Evanescence des exigences, complaintes dérisoires. En contraintes qui te libèrent, de ton être je serai le seul dépositaire. Immobile fraîcheur, la première occurrence est ma voix qui traduit une volonté irréfragable. L’impératif en conseil. Par la transparence, volutes insouciantes de tes pensées, exhale de toi ce qu’il y a de plus gracieux. Hardiesse en retenue, désormais peu importe pour toi l’exigence requise. L’agrément de mes caresses accompagne l’expression de ton abandon.

Lumière douce ombrant ton sillon éclairé, mes douces fantaisies aventurière à l'entoure de ton corps. Les senteurs fines de ton corps charment mon cœur.  De cette relation complice, en de multiples délices, âmes toujours alliées. Par le tumulte des saveurs et des odeurs, tes rêves s’élèvent en réalité. Egarements, sans égard, de ma douce autorité, j’imprime mon sceau sur ta peau. Enveloppée d’une douce chaleur, partage de voluptueux accords insensés de nos corps dans les douves de la douce folie. Perdition dans l’originalité des caresses, en liesse, qui te brûlent. Tendresse sans pitié procurant un plaisir crescendo, corps en brasier par la flamme que je te porte. Je recherche cette douceur impitoyable en ton fragile alcôve. Opiacé sur ma tige te donne le vertige. Ma chaleur en ton foyer pour t’emplir de satisfactions. Dégustes moi, sous le joug de cette torride liaison.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires

présentation



"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)

Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Quelques photos proviennent d’Internet. Si certaines sont les vôtres, veuillez me contacter, je les retirerai immédiatement ou indiquerai vos références

..

Que mes écrits reflètent avec exactitude ma personnalité débauchée, tendre, et…

 

Il y a  1   personne(s) sur ce blog

Commentaires

une de mes passions

j'aime les fesses en mouvement
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés