Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 17:30
Par Ys - Publié dans : Mes compositions
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Vendredi 7 novembre 5 07 /11 /Nov 13:05

D’humeur légère taquine, tu as porté ton dévolu sur moi. Sur mon corps, tu aimes y trouver refuge, y reposer tes ailes. A mon aise, je me tourne te montrant mon fondement. Tu tournes, vires, tu veux me surprendre par tes efflorescences fantaisistes, faux-semblants vers d'autres enjeux. Jeune sauvage frôlant mon corps nu, attirance de mon essence naturelle. Folles sont mes pensées envers toi, je te suis du regard et de l’ouïe. Je veux t'étreindre avec fougue et impatience. Tu me déconcertes, déstabilises, par tes fluctuations incessantes. Ta vivacité fait merveille.
Ame guerrière, sauvage qui prend son envol, tu déploies tes expressions exaltées, inventions farfelues virevoltantes. Préludes à l'attaque où je serai contraint à des relations que je subodore. Aucun mot échangé, je subis tes folies. Par autant d'explosions de subtilités, ayant été désabusé, je n'ai pas pu te résister pour l’extrême. Aux délices foudroyants, tu viens me ravir avec une ardente avidité. A la passion dévorante, tu te repais de moi. Ton amour est teinté de violence. Ta bouche affamée, si téméraire, au comble de ta gourmandise, tu me suces goulûment à ma chair avec grande douceur qui laisse place à la douleur. Je veux te serrer avec toute la force de mes mains. Tu as pris du plaisir ... me laissant dans la souffrance


Saloperie de moustique ! je t'éclaterai la gueule...

 

Copyright ©Tous droits réservés Ys - 2008 texte déposé n° VVV 58624

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 2 novembre 7 02 /11 /Nov 19:58

Photo glacée d’un corps figé d’une insolente beauté ne demandant qu’à s’épanouir sous l’effet de chaudes aménités. Imperceptibles ondines ombres à cette source de vie. De cette vue, si blanche, trouble magistral, mon corps gémit. Finesse du trait qui sublime mes ambitieux desseins teintés de l’impudeur d’un doux et délicat front d'airain. Ce sillon, du désir de profondes rencontres, à ce mont émerveille. Appétit de plaisirs espérés, mes sens sont mis en éveil. Traçant mon chemin du regard suivant vos, si attirantes et si tentantes, apparences, je prends le doux risque de me perdre devant tant d’abondance. De cette pâle lumière de la volupté, diaphane de sensibilités, se révèle l’essentiel. Mystérieuse, en floraison, immaculée, de conception apparaît-Elle. Votre chair albâtre, avec ce grain de toute beauté, où j’aimerais m’appesantir. Défiant l’espace, je voyage, éperdu avec abus, en ce paysage d’ingénue. Je sens ma monture s'emballer de l’intention de vous animer de soupirs. Envie de sentir ces lèvres contre les miennes, moins intimes, en un baiser absolu. Sous la tiédeur de vos nymphes repliées, quérir votre trésor en ce delta. Etre partie intégrante, en probante adhérence, de ce paysage de rêve. Délicatement, de mes papilles, faire le lit de votre fève. Deviner la saveur du suc de votre fleur, désir exprimé par le silence de tous mes émois. Cette vision m’étreint, envie de me laisser glisser en vos abysses profonds, puits des Danaïdes qui cristallise mes pensées sauvages et fécondes.

Photo de Cassie, Merci

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 1 novembre 6 01 /11 /Nov 17:14

Femme plurielle, corps modelé des mains de Dieu. Sous la lune aux lueurs complices qui dessine la gémellité de tes formes, mon regard caresse tes secrets d’ombre. Tu implores le plaisir convoité qui te nargue avec un grand sourire. Augmentation de ton désire et… un éclat de rire. A force de patience, mes lèvres unies vers celle, qui porte l’amour. L’O à la bouche, langues épousées. Sexualité librement exprimée des sources vives, nous donnons aux corps le prestige de nos esprits. Temps de la déraison ardente, sur ta chair vagues abondent. Relation harmonique de l'idéal où notre nard exhale à notre peau. Haleine jusqu’à l’aine, tu m’accordes ta délectable saveur.
   Ton corps devenu braise, je dévoile en ton fruit les portes du paradis. Ma langue, douce comme du velours, s'applique à dessiner tes pétales. Ta singularité en une pluralité, d’abondantes chaleurs déployées à mes papilles, est une douce libation à mes lèvres. Ta fleuressence est une invitation donnée à découvrir les profondeurs de ton être. Mon bel ephèbe charge en ton honneur pour dépenser tes pensées à feu et à sang. Par mon ampleur dont la taille enfièvre les frissons des sens, à double sens, contractions rythmiques. La vérité, portée à son comble en ton chas, eau sort de ton corps et vide amant !
   En ton noble temple buccal, mon heureux naturel, pour tarir l’excellent breuvage. Par une ronde folle à mon vit accomplit, une ivresse bacchanale. Inassouvis, nous multiplions les positions tantriques, vision obscène de deux corps indécents et un con descent. Analogies paradoxales juxtaposées, nous sommes félins pour l’autre, jouant des vices, tu pirouettes mes cacahuètes. Sans chaîne, ardeurs, ferveurs, passions et délices, sans morale surannée, nous donnons tout de nous. L’épilogue est plus clément à ton âme mais toujours plus brûlant que le feu. A ton orée, plus que la menthe fraîche une douce feuille de rose, avant que tes gestes, sans résistance, laissent ta chair subtilement pénétrée. Ta corolle anale, merveilleuse alliance, en mon doigt te fait mienne et me tient.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 1 novembre 6 01 /11 /Nov 11:30

XXX

Par Ys - Publié dans : clip
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Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 11:18

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Vous vous offrez à la chaleur du soleil, aux douceurs de la mer, aux aspérités des plages, aux caresses des alizés, à l’intimité de la nuit, aux câlins des femmes et à la convoitise des hommes.     Ange du mâle, vous vous mettez en jeu, affranchie de toute censure, avec la spontanéité qui vous caractérise. Souveraine, sans équivoque, vous vous exposez, pile ou fesses, aux regards qui s’illuminent.     Merveilleuse féminité de vos espaces dérobés.   

Jouant l’innocence printanière, sans jamais rougir, sans s’émanciper de l’ipséité, vous ondulez vos courbes, arcs de triomphe. Corps beau, (sur un arbre perché ou non), vous regorgez de biens que vous exhibez, avec générosité et aisance, en expressions discursives vénielles jusqu’à l’obscénité. Sous les flammes des regards, frivole allumeuse, vous cristallisez les attentions riches d’intentions. Indécente et enivrante Naïade, vos immorales allégories captivent nos âmes vassales. Vos formes plénières arment nos ardeurs. Désirs en tourment, plaisirs en suspend. Plus que vingt culs, vœux ardent de se fondre en vous comme une musique intérieure. Envie, en vos ombres, d’y être à l’étroit. Belle, offrez-moi toutes vos vertus.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 21:03

Au FMI, il est fortement déconseillé de se laisser guider par ses bourses, fussent-elles en crise, pour la promotion canapé de quelques secrétaires et stagiaires. L’homme, n’ayant pas respecté cette recommandation, aurait la paupière tombante, mais pas le reste. Selon certains " zobservateurs ", ce coureur de jupon, trop pressent, réputé comme tel, s'est mis dans de beaux draps. A-t-il abusé de la planche à billet… doux ? Les casseroles ont une queue, lui aussi ! C'est notre Bill à nous, ce baiseur compulsif tire sur tout ce qui bouge. Aux states " no zob in job ", a-t-il oublié ? Sa quéquette prendrait-elle parfois la place de son cerveau ? C’est la braguette la plus rapide du monde politique! Le problème est qu’il désigne ce rapport comme un incident. Faux-cul ! Merci pour elle. Là, son K est grave !
Préservons la Raie publique !

Comme dit la chanson dominique..nique…nique..nique ..nique.

Avoir l’oeil collé à la serrure de la porte ne favorise pas la hauteur de vue. Sa vie privée ne nous regarde pas !
A condition que cela ne relève pas de l’abus de pouvoir...


vous l'avez reconnu ? C’est lui

Par Ys - Publié dans : humour
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Dimanche 19 octobre 7 19 /10 /Oct 18:00

Sous le ciel, nulle indécence, votre voûte stellaire vivifie mon addictive appétence. L'acomoclitisme, dans tous ses éclats, me met dans tous mes états. Callipyge, ondoyant de blancheur, vertige de la forme pure, voluptueuses rondeurs en promesse. La beauté n’a pas de visage et, en la circonstance, nulle égale. Ma colonne de chair se dresse, je me tends vers vous, fasciné par vos abondances. Tension insoutenable. Subordonné à votre céleste splendeur, aucune honte à préférer le bonheur. Délicate fente, je m’extasie et ne résiste à cet appel au voyage.

Animé d’une envie grandissante, attitudes en séduction pour remonter à la source de vos attraits. Mains heureuses, je m’aventure entre vos cuisses. Frissons de votre peau laiteuse comme une incitation à poursuivre. Je vous respire. Vous fleurez divinement l’encens envoûtant de vos chapelles. Flattant le galbe de vos cuisses, délectables sensations. Avec toute ma dextérité, j’aborde la pulpe fine de vos fesses de printemps. J’effleure, câline, caresse, masse vos soyeuses, au demeurant fermes, éminences, mêmes délicatesses en votre pertuis.
Ma langue trouve le chemin de votre bonheur, en disjoint vos lèvres et joue une nouvelle mélodie improvisée. Lorsque le con sentit, fit perdre toute résistance, vos gémissements sont une invitation à la luxure. En votre delta nimbé, mon plaisir devient le vôtre. Je brûle les interdits. Libertine et sensuelle, vous vous laissez asservir par mon amour. Votre calice est mon gîte. Au vertige de mon caprice, nos intimités se scellent. Par mes ardeurs entre vos reins, brûlante du feu qui vous agite, vous fendez le silence de tous vos émois. Ma déesse, permettez qu’en votre sublime chair je me coule.

Autre version de Toute vérité exprimée

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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présentation



"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)

Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Quelques photos proviennent d’Internet. Si certaines sont les vôtres, veuillez me contacter, je les retirerai immédiatement ou indiquerai vos références

..

Que mes écrits reflètent avec exactitude ma personnalité débauchée, tendre, et…

 

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