La reine de cette nuit avec ses défauts, qui font leur humanité, nue, portant l’essentiel, équilibre du corps et de l’esprit. Elle brizze l’innocence des désirs en cascade. Sa beauté si personnelle, sa grâce en chacun de ses mouvements mettent mon coeur en apnée. De contempler ainsi ce doux présent, mon âme s’évade vers un ciel inexploré. Elle se couche en murmures et se blottit contre mon corps, chaleur unissant nos êtres et nos cœurs. Son odeur éveille mes sens, je bruisse sa peau de mes envies De son corps sage, fais gémir les zones sensibles.
Elle admire la belle taille de mon long qu’elle harcèle du bout de sa langue.
Les corps étrangers ont le goût capiteux du secret, ses papilles palpitent de plaisir extasié d’une virtuose prenant du plaisir. Elle joue tous les accords de l’instrument à queue pour mon plus
grand bonheur. Par le jeu de lèvres et de doigté s’exprime toute la puissance qu’elle module. Celui-ci s’anime et donne sa pleine mesure. Ses lèvres enserrent mon sceptre. Bien qu’elle le suce,
douce torture à mon prépuce. A mon méat point de culpa, elle se délecte de son envie. Perdant toute sagesse, elle a l'audace de me provoquer au jeu d’un doigt indiscret à mon œillet. Une onde de
plaisir m’électrise. Avec sa bouche, elle pense décider de mon sort. Mais, sans indulgence, délicieuse irrumation sans conclusion.
Pas de
trêve en ces instants où la parole est futile. Suivant son sépulcre sentier, attiré par ses douces effluves, soyeuses caresses à sa prude anse où j’aime y faire le con. A sa source, je puise mon
eau de là. Cette luxure magnifie son corps animal pris d’une houle femelle. Ô agitée, elle se confesse. La réponse à mon interrogation, si cet Ô sera suffisamment bas, vient de m’être donnée.
Dans l’élan de mouvements subtils, elle invite ma tour flèche dans sa chair. Ma sybarite devient furieuse d ans le feu de son âtre, plaisir intense.
Dans ces folies amoureuses, ne pas baisser les armes, garder haute la garde. Le dessert arrive en pièce montée.
Mon cierge dans sa nuit pénètre, en offense, avec une douceur brutale. La contrainte de ma chandelle, toute dressée, flamboie à sa sensualité anale. Dans l’ampleur de sa chaleur, je deviens
redoutable. Hampe, en combustion, déverse sa sève dans ses profondeurs. Nous brûlons au feu de nos effusions.
Elle brisera mon cœur. Est-ce le prix à payer pour ce qu’elle m’a offert ?

Dans de hautes bottes noires qui s’achevaient en talons aiguilles, vêtue finement élégante et parée de
séductions. Ce corps sculptural est un véritable appel à la jouissance. Souvent sans petite culotte, aimant ressentir s'engouffrer, entre ses cuisses, les promesses d'innombrables amants. Grisant
alizé. Désinhibée, elle sent le pouvoir qu’elle a sur le sexe masculin. En parades charnelles, cette femme affolante maîtrise ces domaines, toujours aux commandes de leur bourse, sésame ouvrant
les portes du plaisir. Cette femme aime l’énergie, et l’intelligence que ses amants ont dû déployer pour la séduire. Elle avait envie de devenir un fantasme et c’est, à présent, fait. Sexual
fashion ? Ses caresses sont Elle. La sexualité n’est plus, depuis longtemps, fortement cadrée, normée. Elle joue avec la vulnérabilité des hommes qui sont soumis à ses
Devenir le rêve de cet ange est un pas dans les nuages avant de courir dans les étoiles. Les
romans ne commencent, ni ne se termine par la queue, à moins que…. Je fais le cygne pour lui faire signe. Je suis homme affable et non à fable. Aux secrets de mes encres, je révèle mes intentions
empruntes de délicatesses. La pensée est une corde. Saisissez un bout je suis à l’autre bout. De mon sceau de flammes et de silences, la musique de vos soupirs refait son plein d'écho. Mes
caresses sont les vagues de douceurs de la mer de mes émotions en furie. Lorsque vous me faites partager votre corps en appel, l’amour me devient présence. Lieu où ma main est attendue, je sens
votre plaisir s‘arrondir et s’ouvrir à l'exultation. A votre mont de Vénus, le bouton se tend, enfle et s’enorgueillit. De ma langue, je feuillette vos délicieux replis, à vos lèvres intimes sont
écrits vos désirs en lettres trempées. Quand le soleil a atteint son lit, vers ce lieu extatique, c’est le temps de légèretés. Mon vis prend vie, avec ampleur jusqu’au cœur de votre intimité.
Votre corps est à l’abandon, noyé dans la jouissance par ma hampe, rubescente et prodigieuse. Novice ou professe, jusqu’au vertige, je vous réponds à l’encre blanche à votre point de dilution. Je
vous murmure. Ne me faite pas trop attendre car le manque est une unité de mesure des sentiments. Mille ans passés depuis hier, que sera demain.
Femme altière, qui n’échappe pas aux regards des hommes, met aussi l'âme soeur en admiration. Ne pas se limiter
au champ masculin, élargir la portée de ses échanges. Chaque femme est une œuvre, votre sensibilité trop réfrénée cède à cette incoercible attirance. Dans le désir, cri de l’âme, nous nous
révélons à nous-mêmes.
De sexualité bien épanouie, nulle neurasthénie sexuelle, cependant d’humeur coquine, pour calmer sa fureur
utérine et se sentir assouvie, sa main droite avait trouvé le chemin de sa sensualité et commence à caresser ses tétons dont la pointe se durcit, en s’imaginant que c'était une autre personne.
Jeu sensuel avec son propre corps, cet office commun à l'humanité.
Puis, elle glisse son index trempé de salive entre ses lèvres toutes chaudes, douces et légèrement écartées. En sa fente, de haut en bas, d’un toucher délicat, de longues
caresses appuyées, tout en gardant l'autre main sur ses petits seins, dont elle caresse les tétons avec un grand plaisir. Elle explore son intimité en une déambulation subversive, malicieuse et
sulfureuse. Puis un deuxième doigt inquisiteur dans les secrets de Vénus, caverne des plaisirs, lui procure un délice conquis. De son autre main, délaissant sa poitrine, descend s'affairer de
plus en plus délicieusement sur ses fesses. Un doigt dans son oeillet et l’autre sur sa vulve en fusion. Son petit trou se dilate, acmé anale. Sa douce corolle s’épanouit, son sexe brûlant est
inondé. Elle prend un peu de sa cyprine pour en induire son clito qui, sous ses doigts se dresse, se durcit, gonfle. Elle le pince doucement, le fait tourner. Doigts coquins, doigts malins,
sensations exquises qui la font frémir.
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