Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 14:01

 

Par Ys - Publié dans : Mes compositions
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Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 13:11

Je ne peux détacher mon regard de vous. Vous êtes très belle, encore plus belle, beaucoup plus belle sur votre monture. Mon regard plein de désirs, affamé par les générosités de votre corps. Propitiation qui fragilise mon âme, vous me désarçonnez. Couleur de cheveux de femmes fatales à l'allure avenante, mes pensées s’emballent suivant les allégories de votre bassin. La cambrure ansée de vos reins exergue vos fesses austères.


Jambes nues, musclées, offertes, je jalouse ce fier étalon faisant le con avec une douceur infinie. Vos hanches qui épousent cet équidé. Trots, galops indécents comme un immense olisbo sur vos lèvres intimes, troublant incessants mouvements de va et vient entre vos cuisses. Furieux désirs contenus. Prenez les rennes qui vous mèneront à moi. Je ne peux et ne veux vous laisser au bestiaire, soyez mon hôte tension, éblouissante cavalière. Etre selle, celui sous votre lune blanche, épopée sur le grain de votre peau.


Chevauchez-moi ! du débourrage jusqu’à la restitution des mouvements naturels les plus élaborées. Je suis votre fougueux étalon à la recherche du royaume des abysses. D’humeur saharienne, accroupie sur mon corps pris entre vos cuisses, vous enfourchez ma colonne de chair dressée, vous vous y empalez en étroite union. En harnais de vous, à cru, je rue à votre croupe. Femme de mes rêves nulle trêve, vous caracolez sauvage. J’aime vos manières cavalières, votre crinière en course folle, je m’anime mâle en vous. Je suis votre alezan, je me cabre, en belle allure je vous donne un peu de moi, beaucoup d’émois. Pensées en canicule, je distille mes râles.
 


Nous étions en cavale hier, vous sans lui et moi sans elle, seuls vous et moi

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 14 mars 6 14 /03 /Mars 18:26


Étienne, Étienne
Oh ! Tiens-le bien
Baisers salés salis
Tombés le long du lit de l'inédit
Il aime à la folie
Au ralenti je soulève les interdits
Oh !
Étienne, Étienne
Oh ! tiens-le bien
Affolé affolant
Il glisse comme un gant
Pas de limite au goût de l'after beat
Reste allongé je vais te rallumer
Aïe
Étienne.

Étienne, Étienne, Étienne
Oh ! tiens-le bien
Alléché, mal léché
Accolés tout collés
Très alanguie, je me sens étourdie
Toute alourdie, mais
Un très grand appétit
Oh !
Étienne, Étienne, Étienne
Oh ! tiens-le bien
Délassé, délaissé, enlacé, élancé
Si je te mords et encore et encore
Quand dans le dos
Je souffle le mot :
Oh ! Étienne

Par Ys - Publié dans : clip
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 18:05

Sans maquillage, vous en êtes que plus belle. Sans parfum, uniquement votre essence naturelle. Lâchez-vous ! Mon jugement n’en sera que plus clément. Amusons-nous, vous de moi, et inversement. Le plaisir partagé est le plus beau cadeau des amants, et, s’il n’en était… quel plaisir de donner du plaisir, douce procuration.

Patience et longueur de temps accroissent le désir, alors hâtons-nous lentement à succomber à la tentation. La sagesse de la connaissance de l'autre passe par la densité de la patiente découverte.

 


Par d’infinis cunilingus jusqu'à vous rendre folle, vous voir vous mouvoir, gémir de plaisir. Quel plaisir de donner vie à votre corps, délicieuses fragrances. Ma seule ambition, votre jouissance en plaisirs intenses. Par addiction, nous oeuvrons en désinhibition.
Explorons les extrêmes de notre sensualité. Se donner selon nos désirs, se jouer des circonstances en toute insouciance, belle prétention au regard de vos exigences. Passion en d’affolantes obscénités, la folie des sens est le tourbillon du firmament. Dans votre univers, être votre douce singularité, un moment, un instant, longuement réitéré.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 21:38

Beauté, ô pâle, aux reflets d’aimant.... Vous désirer sans trêve, vous faire l'amour charmant dément, comme nul autre amant, gouverné par Vénus. Femmes de mes pensées, bouleversante féminité. 

En voeux exaucés, toute pudeur envolée, nos corps se caressent pour leur donner les prestiges de l'esprit. Enivré par l'odeur de votre douceur, ma pine up. J’agace le bout tendu de vos mamelons gonflés, pressant l’espoir de vos seins, les pointes se durcissent de désirs, dessin d’amour.

De dispositions en attitude, Souveraine à ma zone sensible, sans s’embarrasser de fioritures pour ne pas être condamnés au superficiel. Abrogez les lois, Make me cry in vicious games, un état qui sévit pernicieusement dans mon corps.

Enjoué, je me libère en alizé sur vos plaisantes contrées, doucement vers le bas de vos reins au petit mont de luxure. Vous gémissez de mes baisers apposés à la lisière de votre félicité fendue. Entre vos cuisses qui m'enserrent, mes lèvres avides savourent votre antre brûlant et humide. Votre liqueur et vos senteurs me ravissent.

Des lyres érotiques en délire, vous prenez la noble posture des chiennes. Croupe ardente éperdument ouverte, cul, raie aux charmes denses. Brasier géant de plaisir. Cul somptueux, gracieusement féminin, en appel de feuilles de rose prodiguées, Saints des Saints de l'impudeur, pendant que mes doigts sur vos lèvres intimes font monter la fièvre.

De positions en condition, vos jambes contre votre poitrine, pour vous pénétrer profondément par mes hardiesses. Mon vit tendre votre âme, plaisir en ondes fulgurantes. En vous…… libérer mon envie de vous, en flux or essence. Je vous aime au plus profond de vous.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Vendredi 27 février 5 27 /02 /Fév 18:44

Le paraître, ce sens immédiat, au travers d'un voile altérant. Beaucoup se soucient du paraître. Pas nécessairement par manipulation mais par besoin de témoignages subjectifs qui, au demeurant, ne traduisent pas toujours celui du plus grand nombre. Conscient de cette réalité l’individu est dans une quête perpétuelle de compliments plus ou moins affichés. Le ou la sexygénaire en recherche d’originalité pour capter l’attention par sa singularité. Tel le con paré ( sur cette photo, dont je ne suis pas insensible pour m’y être délicieusement adonné), comme l’identification d’un mâle nécessaire, en charge de séduction par tous les artifices possibles, prendre les formes d’une iconicité euphorisante ou se fabriquer une beauté stylisée et magnifiée. Cependant la valorisation de la différence s’estompe par l’effet de mimétisme, le suivisme ou la mode, qui devient une nature conventionnelle. De même, la séduction, qui est en jeu dans le paraître, n’est pas garante de pérennité. Que de déceptions au réveil après une nuit torride ou lorsque le temps fait son travail !


Une belle apparence prédispose à l’exhibitionnisme car flatte notre égo, comme la personne ayant d’indéniables capacités cognitives a tendance à les afficher. Chacun ses armes. Au demeurant l’une et l’autre se concilie aisément. Se parer, se faire belle ou beau, se sentir toujours en forme et séduisant(e) contribuent à une certaine aliénation. Ceux ou celles là ne sont pas réellement, ils ou elles sont leur image. Ils sont devenus esclaves de cette facticité. Etre ou Miss paraître, l’impératif esthétique. Le ou la dysmorphophobique doit apprendre à aimer ce que reflète son miroir par la transformation de sa conscience sur le mode de la réconciliation du corps et de l’esprit.


Etre et paraître sont deux réalités coexistant pacifiquement, ou en conflit. Tous deux peuvent être des beautés intrigantes. Le paraître permet à l’être d’être hors d’atteinte et résolument imperméable aux critiques. Par ailleurs, la sagesse conduit à être dans l’intimité et paraître dans l’espace public, car pour vivre libre vivons caché(e)s. Mais la reconnaissance du paraître est-il plus important que celle se rapportant à notre personnalité ? Certainement pas car être se définit comme étant une valeur exemplaire de l’authenticité. Cette véracité factuelle qui se révèle avec le temps.

 


Le must : Intelligence, sensibilité et charme, …….un rêve, ou une réalité ?

Par Ys - Publié dans : mes reflexions
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Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 17:49

Ce que nous vivons est ressenti avec plaisir ou douleur. Soumission passée à la dictature du paraître, ses impulsions corporelles sont désormais au service de ses jouissances, peu importe le conformisme. Libérée, son érotisme s’inscrit dans sa force de suggestions qui évolue de l’ombre de la clandestinité, à la lumière de la reconnaissance. Les émotions fortes sont plus exaltantes que la satisfaction.

En quête absolue de sensations inédites, elle aime trop l'inquiétude de ne pas savoir. Cela lui procure une sensation inédite. Excitation de son cœur, en état d’alexithymie, dans l'incapacité d’exprimer ses émotions par des mots, le langage corporel vient s’y substituer. L'effleurement, devient source d'une sensualité extraordinaire. Le sling servant parfois de désinhibiteur, elle se prête au jeu des désirs sollicités, irrépressible densité de l'excès, sans meurtrir sa chair d'une nouvelle injure. Les limites du plaisir charnel sont explorées, mais toujours dans le respect du corps et de l'assouvissement de ses désirs les plus transgressifs.

Lorsqu’elle switche, se métamorphose torride, elle est ma précellence érotique. Une admiration qu'elle me force à contenir. En quête de sensations clandestines, par de licencieuses truculences, l’espace pour respirer est parfois très étroit. Elle s’adonne aux plaisirs d'une profonde diversité par les excentricités de sa conduite sexuelle. Débauches d'orgasmes aux services de ses passions. Sexy temps.

Plus vanille, par les écritures de nos corps, la puissance de l’élan créateur, complexités mouvantes jusqu’à l’épuisement de nos désirs. Vive ardeur, tension insupportable contenue dans l’amour profane. Besoin de profondeur, afin de ne pas rester superficiels. La souveraineté de l’amour se manifeste sous cet aspect festif et séditieux, qui lui confère une aura romantique. Cette suprématie de l'esprit sur les sens.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 09:11
Par Ys - Publié dans : clip
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présentation



"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)

Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Quelques photos proviennent d’Internet. Si certaines sont les vôtres, veuillez me contacter, je les retirerai immédiatement ou indiquerai vos références

..

Que mes écrits reflètent avec exactitude ma personnalité débauchée, tendre, et…

 

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j'aime les fesses en mouvement
 
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